Recherche: Tests de Jeux vidéo sur SWITCH
Chants of Sennaar veut frapper un grand coup avec son identité visuelle forte et son concept qui l’est tout autant. C’est plus qu’une réussite, c’est une pépite.
Mario, Zelda, Kirby… les mascottes et les licences fortes, Nintendo en a des tas. On les connaît depuis de très nombreuses années, plusieurs décennies, et beaucoup d’entre nous ont grandi avec. Mais à côté de ces innombrables têtes d’affiche colorées, il y a aussi les seconds couteaux. Des franchises bien connues également, mais qui en imposent un peu moins que les plus anciennes.
2017. Nintendo fait exploser l’industrie avec le nouvel épisode de l’une de ses plus célèbres licences, Zelda. Évidemment, les fans sont nombreux, le public répond présent, mais personne n’était préparé pour un tel raz-de-marée. The Legend of Zelda Breath of the Wild se présente comme étant la quintessence d’une formule fignolée pendant près d’une trentaine d'années. La
Après avoir sorti Chronos, Dead Buried sur Oculus Rift ou Darksiders 3, le studio Gunfire Games a offert une nouvelle IP aux joueurs : Remnant From the Ashes. Un TPS comparé à tort ou à raison à un souls-like. Un peu moins de quatre ans après son lancement, le jeu a décidé d’aller conquérir un autre public, celui de la Nintendo Switch. Un portage réussi, moyen ou complètement raté ?
Que seraient les jeux vidéo sans boss ? Partie intégrante de l’ADN du médium, les boss ont toujours eu une place chère dans le cœur des joueuses et joueurs puisqu’ils sont l’incarnation en chair et en os (de pixels) du dépassement de soi recherché manette/clavier en main. Certains jeux sont d’ailleurs principalement focalisés sur les affrontements mano à mano, les boss rush. En
Volonté manifeste de convoquer l’esprit des J-RPG d’antan, Final Fantasy VI ou les SaGa en ligne de mire, Octopath Traveler premier du nom avait surtout marqué par son style visuel HD-2D et son incroyable bande-son. Il trébuchait en revanche sur son écriture et sa structure, loin de laisser le joueur s'immerger dans une aventure somme toute oubliable. Et c’est bien ce point précis que
Voilà un bel explorateur. En 2004, lorsque Tales of Symphonia arrive en Europe, il est le premier de la saga à faire le voyage, tentant de trouver une terre d’accueil favorable. Sans être un immense succès, il rassure sur le fait de commencer à abreuver le Vieux Continent de cette licence, désormais bien ancrée. Son retour dans une version remastérisée apparaît alors comme un nouveau
30 ans et pas une ride. Tout rond et tout mignon, Kirby’s Dreamland déboulait le 27 avril 1992 sur Game Boy. D’abord blanc comme un linge, il passera finalement au rose qui lui sied tant une année plus tard avec Kirby's Adventure sur NES. Nintendo accouchait alors de la plus adorable des mascottes devenue au fil des années le chouchou des Japonais. Trois décennies et une trentaine de jeux
Nintendo sort de ses cartons un nouveau remaster et pas n'importe lequel. Big N fait en effet revivre Metroid Prime, l'un de ses jeux les plus cultes. Masterclass ou jeu opportuniste ? On a la réponse.
L’une des forces du jeu vidéo est d’apporter des expériences riches et variées qui s’adressent à tous les profils. Si les jeux solo et multijoueur sont légion, il y a un genre qui amène souvent des pépites : les titres coopératifs. Un studio nantais tente de s’immiscer au milieu de Portal 2, It Takes Two et autres avec leur première production vidéoludique, Blanc. Une aventure