L'épisode Bandersnatch de Black Mirror est vraiment très particulier à plus d'un titre. Déjà par son commencement, une vraie mise en abîme : on fait des choix, d'abord insignifiants, comme la marque de céréales du petit déjeuner ou la B.O., dans la vie de Stefan, un jeune programmeur de jeux vidéo qui se lance dans une adaptation jouable sur ordinateur de son roman dont vous êtes les héros préféré, Bandersnatch. Son soft prend la forme d'un mix entre Wolfenstein et les vieux dungeon crawlers en case par case, dans lequel c'est par des choix de dialogues que l'on progresse. C'est assez ironique, il faut bien l'avouer. Et dès le début, le jeu nous pousse à prendre un mauvais chemin pour nous montrer la première des fins de l'aventure, une très mauvaise bien évidemment. Mais immédiatement on revient en arrière et là, notre héros semble doué d'un étrange pouvoir : il a conscience de se qui s'est passé dans son « autre » vie, de son échec, et il agit vraiment en conséquence. Le clin d'oeil à la série Zero Escape semble alors évident. Une référence de luxe, on jubile...

  • Ok, je pense en avoir assez lu, surtout en diagonale, ça vaut vraiment quoi cet épisode ? --> Allez donc en page 6.
  • Franchement, ça à l'air plutôt cool. Mes les choix que je fais, sont-ils vraiment importants ? --> Allez en page 7.
  • Wow, mais c'est un film qui reprend les mécaniques d'un genre digne de la PS Vita, c'est forcément fantastique ! --> Allez en page 5.