Lire mon test complet de Bulletstorm

Une armée de mercenaires boostés à la testostérone, un univers
post-apocalyptique, des dialogues bien crus, non il ne s'agit pas du
nouveau Gears of War, quant à lui toujours prévu pour la rentrée, mais
bien de Bulletstorm, un jeu tout de même signé Epic Games, vu comme une
petite piqûre de morphine pour les millions de joueurs adeptes de
sensations fortes, d'effusions d'hémoglobine et bien évidement d'armes
démentielles.

Comme nous le disions, donc, Bulletstorm nous entraîne dans la peau de
Grayson Hunt, une sorte de pseudo mercenaire anciennement membre du
groupe Dead Echo, une unité d'élite, ou plutôt de nettoyage, qui s'est
rendue compte, malheureusement un peu tard, que leur général, répondant
au doux nom de Sarrano, s'est tout simplement foutu de leur tronche en
faisant passer certains assassinats de journalistes et d'opposants pour
de simples missions consistants, soit disant, à éliminer des rebelles.
Il n'en faut pas plus pour le petit groupe qui prend sans tarder la
poudre d'escampette et décide de se planquer dans un petit coin de
galaxie afin d'éviter les nombreux chasseurs de prime bien décidés à
mettre la main sur le petit pactole qui sera remis à celui qui leur fera la peau. Dix longues années s'écoulent jusqu'au moment ou Grayson Hunt, toujours ivre mort, croise la route du vaisseaux de Sarrano et décide,
contre l'avis de son équipage, d'envoyer son bâtiment s'écraser contre
l'énorme paquebot volant de son ancien patron. Tout cela tourne bien
évidemment au cauchemar pour l'équipe qui s'écrase sur une planète
hostile, tout en entraînant dans sa chute le vaisseau de Sarrano.