Dans l'édition 2017 du Petit Larousse Illustré, la définition de l'expression "manque de race" sera accompagnée de ce petit cliché (qui vaut un long discours) :

ça, c'est fait.

 

 ça aussi.

 

Il sera également suivi de l'exemple contextuel suivant :

"Le Gamer aux Mains Carrées  a acheté une PS4 exprès pour jouer à FF XV. Quel Manque de race !".

 

Comme quoi... les rumeurs m'annonçant comme le plus grand hater de tous les temps  "sont très exagérées" (et croyez bien que je le regrette...).

 

L'occasion pour moi de faire taire ces vilains quolibets en mode full-narcissisme (mais nous sommes sur le net, personne ne pourra m'en vouloir pour ça, n'est-ce pas), en dévoilant quelques clichés de ma (petite) collection personnelle, particulièrement représentative de la haine irrationnelle que je voue à l'éditeur Square Enix (et qu'on m'a souvent reproché en ces termes).

Alors bien sûr, j'en suis conscient, elle fait bien pâle figure comparée à d'autres,  mais n'étant pas Crésus (hélas), je manque de Gils et de monde ouvert pour entreposer tout ça. Aussi ai-je choisi de privilégier la qualité-rareté à la quantité, en me focalisant sur mes épisodes préférés (le VI en tête). 

Une collection à laquelle la Communauté Gameblog a d'ailleurs grandement contribué (le FF X HD, sur le premier cliché, est un cadeau de l'ami Vithia, de même que le steelbook Type 0).

 

On commence par une petite vue d'ensemble de cet autel sacré, haut lieu de culte de la région Version 2016.

 

Bon alors vous l'aurez compris, je ne suis pas très "figurines" (ça prend de la place et c'est souvent hors de prix) ;et encore moins play arts (et encore moins-moins Snow Villiers), mais on ne se refait pas. Quand j'en trouve à pas cher en Cash Converters, je prends (sauf si c'est Vanille, parce qu'il y a des limites au fait de ne pas se refaire).

Le coffret collector européen FFVIII m'a été offert par le fier Locutus, les petits stickers Snow et Tidus (que je n'ai jamais réussi à "sticker" :( ) par le sémillant Vicporc et la petite figurine Tidus par  les inénarrables SNKForever et Minmay.

 

 

 

Deux des trois sets de porte-clé Final Fantasy VI. Je cherche désespérément le troisième à un prix abordable, mais je ne saurais même pas où l'accrocher, en fait. LOL.

 

L'intégrale des Ultimania (sans le coffret collector, hélas), bibles absolues (et volumineuses !) des épisodes I à XIII (avec un chouia de XIV en prime), à laquelle il ne manque qu'une édition en anglais (ou en français). Parce que niveau texte, c'est dense aussi - et donc un beau gâchis. Pour la petite histoire, j'ai profité de la Japan Expo 2019 pour faire dédicacer le tome 1 par l'adorable (autant que talentueuse) Kazuko Shibuya, à qui on doit une grande partie des pixel arts des épisodes I à VI.

 

Et en plus elle a dessiné des coeurs ! Wééééééééé !! <3

 

Un an et demi plus tard, voeu exaucé : les tomes commencent à sortir en (bon !) Français aux éditions Mana Books. De la belle ouvrage pour un bel ouvrage. Je dois encore acheter le tome 2 (c'est à dire le 3), mais j'ai comme une grosse flemme...

 

 L'autel-dans-l'autel, dédié à mon Final Fantasy VI d'amour-pur-et-sincère, avec notamment la version française sur GBA, la version japonaise sur SFC, et la version européenne sur PS1 dédicacée par Hironobu Sakaguchi (offerte par l'immenssisime Kaminos).

 

Et ici, la version 2017.

Qui commence à souffrir d'un réel manque de place. 

Où vais-je bien pouvoir ranger mes prochains achats ?

(on note au passage que j'ai réussi à compléter la collection des porte-clés FF VI dans l'intervalle. C'est maintenant celle des Gashapons qu'il va falloir finaliser !).

 

 Quelques guidebooks du VI, toujours (j'avais l'intention de tous les réunir, mais il en existe beaucoup - trop !, d'autant qu'à l'intérieur, on retombe un peu toujours sur la même chose quand même - avec quelques bonnes surprises également !).

 

Le character collection de FF VI et les cartes "Amano" qui vont avec (elles étaient initialement fixées aux pages du bouquin, en version "à détacher", révélant des scènes-clés des histoires de chaque personnage), ainsi qu'un full set des tradings card regular (de l'épisode VI, toujours. En plus de la première moitié du set en double, j'ai également quelques "spéciales", mais elles sont plus difficiles à réunir - et elles coûtent plus cher, également).

 

 Quelques doujins non-hentai dédiés à FFVI (+ 1 dédié à Dissidia, mais centré sur Tina, l'honneur est sauf). Or le moins qu'on puisse dire, c'est que cet opus inspire des auteurs de grand talent, et il les inspire bien (notamment au niveau du background de Tina, Celes et Cefka).

 

 Un doujin de FF VI regroupant trois histoires courtes magnifiquement mis en images par l'auteure du manga Alichino.

 

Un doujin de FF VII au style graphique aussi atypique qu'exceptionnel.

 

 Deux doujins d'illustrations alternant classieux, moe et ecchi dédié aux titres majeurs de chez Square Enix.

 

 

Autre doujin d'illustrations, entièrement dédié à Final Fantasy XII. Carrément sublime.

 

 

  Deux très beaux recueils d'illustrations aériennes dédiées à l'épisode VI

 

 Un court et élégant récit sur Celes, signé de la même dessinatrice.

 

Même autrice, nouveau recueil d'illustrations : ce serait dommage de changer une équipe qui gagne.

 

Un doujin de courtes histoires humoristiques, toujours sur l'épisode VI.

Il a la particularité d'être sorti en 1994, soit la même année que le jeu.

 

 Autre doujin humoristique, mais plus récent.

 

Un doujin racontant la rencontre entre Locke et Edgar Figaro.

 

 Un doujin érotique mettant en scène ce même Edgar dans les bras (si l'on peut dire) de la belle Celes.

 

 Toujours un doujin consacré à Final Fantasy VI (oui, je suis monomaniaque, et alors ?)

 

 

Cinq doujins humoristiques consacrés à l'épisode XV. Superbes et drôles  pour de vrai (même si, on ne va pas se mentir, je ne comprends pas tout... par chance, ces auteurs ont un humour très visuel, en plus d'un excellent coup de crayon).

 

Deux doujins FF XV "post-game" : dans le premier, hilarant, Noctis apprend l'existence de Pitioss et entreprend de s'y rendre, au grand désespoir de ses compagnons. Le second, très touchant, imagine une fin alternative douce-amère dans laquelle Noctis survit et retrouve Lunafreya.

 

Autre doujin de FF XV, autre réinvention de la fin

(qui, de toute évidence, travaille beaucoup celles et ceux qui ont apprécié le jeu).

 

 Encore deux autres doujins de FF XV... Comment ça, elle est bizarre, ma collec' ? Mais je ne vous permets pas !

 Le doujin de Shirow Miwa, illustrateur surdoué dont nous reparlerons plus bas,

pour fêter les trente ans de la licence.

 

 Un recueil d'époque consacré aux VI, VII et VIII...

 

toujours dans la catégorie "doujins", une autre anthologie de qualité +++ pour fêter les 20  ans de l'épisode VI.

 

Avec ses goodies exclusifs : un mini-manga choupi, des stickers, du papier à lettres, un magnifique diorama de la scène de l'opera à monter soi-même et un jeu de l'oie reprenant l'intégralité du jeu en mode SD.

 C'est pas le bonheur, ça, dites ? Franchement ?

 

Doujins toujours : du FF XV et du FFVI...

 

Et encore du VI ! Comment ça "je suis monomaniaque" ? Mais pas du tout ! Comment est-ce que je pouvais résister à ça :

Franchement ? ! Il y a des bouquins officiels qui ne soutiennent pas la comparaison !

Hélas, ces petits recueils d'illustrations constituent un triptyque, dont je n'ai pas réussi à me procurer le troisième volume...

 

...alors je  me console avec celui-ci ! 

 

 Pour changer, un doujin de Final Fantasy VI, tout ce qu'il y a de plus récent.

En plus de regrouper quelques artworks, il revient sur l'enfance des frères Figaro.

 

Enfin, dans la catégorie "cherchez l'intrus", un doujin de FF VII (en haut à gauche, signé par l'inénarrable Shirow Miwa) noyé dans une masse de doujins FFVI (dont un qui s'offre le luxe d'adapter l'histoire du jeu - jusqu'à l'attaque du refuge de la résistance...). Miam !

 

 Le artbook du IX (d'époque, s'il-vous-plaît) et un visual book de l'animé Unlimited.

 

Le superbe FF Pix (édition française) de chez Kurokawa, lui aussi dédicacé par Kazuko Shibuya <3

 

 Wéééééééé ! Du rab' de coeurs !!! <3 <3

 

 Le artbook "preview" du XV, ainsi que les deux (volumineux) guides Ultimania

dédiés à l'épisode.

 

Auxquels devait forcément s'acoquiner le dernier-né des éditions Mana, un peu light côté contenu mais très sympathique malgré tout.

L'édition collector du guide en version française, offerte par l'irremplaçable PYT <3

Un ouvrage indispensable pour les quelques élus à avoir apprécié le jeu.

(attention si vous vous portez acquéreur : protégez bien la couverture,

elle marque très - trop - facilement, hélas).

 

Le luxueux livre d'art longiligne de chez Cook & Becker

 

 Un recueil de layouts de Final Fantasy Unlimited, édité en indépendant par un des membres du staff de  la série (rien de hentai, contrairement à ce que suggère la couverture).

(C'est vous dire ma déception, lol).

 

 Final Fantasy After, ouvrage revenant sur la série animé et proposant sa suite en manga,

puis sous forme de script.

 

Le mook dédié à l'OAV en quatre épisodes intitulé "La Légende des Cristaux".

 

 Le double vinyl de FF VII (je vous rassure, je ne le range pas sur mon radiateur, c'est le plastique de protection à l'intérieur de la pochette qui n'est pas super-coopératif, et qui ne s'entend pas très bien avec mes mains carrées).

 

 Les sympathique petites trade-arts (sur cette étagère et celle du dessous) m'ont été offertes par le machiavélique ChrisleRoux et la séduisante PYT-Bibiche.

 

Une sélection de mangas en V.O. : trois des cinq tomes de l'adaptation (parcellaire, mais stylée) de l'épisode XII, les trois tomes de l'adaptation (très libre, que j'ai vraiment galéré à récupérer) de l'épisode 3 (par le dessinateur du mythique Leviathan, bien connu des spéculateurs sur Priceminister), un recueil d'histoires courtes dédiées aux épisodes VII à IX signé Shirow Miwa (l'auteur génial de Dogs Bullet and Carnage, publié partiellement chez Panini avant de passer en pertes et profits dans le catalogue des libraires - m'obligeant à acheter les tomes US sur Amazon) et un recueil d'histoires courtes (sublimes, à l'image de la couverture) sur l'épisode VI (on ne se refait pas).

 

Datée de 1989, l'adaptation du tout premier opus, qui prend d'étonnante libertés avec le matériau originel, introduisant robots et vaisseaux spaciaux à la trame du récit...

 

 

L'intégrale des publications françaises dédiées à Type 0. Si le one shot initialement réservé à l'édition collector du jeu est très moyen, car très anecdotique, le prequel "le Guerrier de Glace" est plutôt bon (sans être génial non plus, il fait bien le travail). Quant au roman, j'attends d'avoir fini le jeu pour m'y mettre.  

 

Du coup, il me fallait aussi le artbook promo de l'édition collector...

 

Bon, forcément, l'édition française des Lost Stranger au fil de sa publication. Rien de sensationnel en soi, mais l'ensemble reste sympatoche... 

 

 

Quelques publications françaises dont je me garderais de commenter la qualité pour ne froisser personne. On va dire que l'intention y est, et que c'est elle qui compte. A souligner tout de même : la qualité remarquable du magazine Play (avec notamment un test en profondeur d'un autre bijou cher à mes yeux : Vagrant Story).

 

 Ici, vous l'aurez compris (j'espère), il s'agit des B.O.. Avec notamment celle des OAVs "la Légende des Cristaux" (le seul bon truc lié à cet animé calamiteux), un doujin CD du groupe Hellion (qui faisait du Black Mages avant les Black Mages), un CD de reprises en mode "Noël" (c'est à dire avec pas mal de grelots - non mais ils vont toutes nous les faire, chez Square Enix ?), et enfin une très chouette compile d'accouphènes dans le dernier coffret à droite. Et n'oublions pas non plus le CD de Final Fantasy X 2 en double, offert par le redoutable tandem Minmaysnk Forever, mais également par le swagissime Mr Furieux.

 Avec l'incontournable B.O. de l'épisode XV en prime, évidemment.

Le CD single de l'opening de Final Fantasy Unlimited.

 

 Et le drama CD de Final Fantasy Unlimited, qui fait suite à la série animée.

 

 

 Un anime-comic reprenant en image l'intégralité du scénario de Final Fantasy VII (avis aux amateurs : il existe la même chose pour les épisodes VIII à X), et l'adaptation en roman de l'épisode II illustrée par Amano.

 La K7 vidéo promo offerte par le magazine V Jump pour annoncer la sortie de l'épisode VI (une vingtaine de minutes d'extraits du jeu, présentant l'un après l'autre tous les personnages et leurs particularités).

 

 L'intégrale collector de Final Fantasy Unlimited (série à la qualité fluctuante, mais à laquelle je trouve de vraies qualités - et je me sens bien seul), le double DVD du concert Voices (l'ancêtre de Distant Worlds), le double DVD de The Spirits Within et le Bluray de la version longue d'Advent Children (film que je surkiffe, et j'assume, même si je suis le plus grand hater de Tetsuya Nomura de l'histoire de la création - à en croire les rumeurs). J'ai également eu les K7 vidéo des OAV "la légende des cristaux", mais l'animé était tellement mauvais que je m'en suis honteusement débarrassé (et l'édition française n'arrangeait carrément pas les choses).

 Le DVD japonais de la série animée Brotherhood, parce qu'il propose les sous-titres français et que ça évite d'avoir à traiter avec les spéculateurs qui capitalisent sur l'édition française, vendue uniquement avec le Bluray de Kingsglaive.

 

 Bon, je dois vous l'avouer, je n'ai pas encore joué à tout. D'ailleurs le 4 Heroes of Light est encore sous blister ! Mais bon. Je précise quand même que bien que n'entravant pas un traître mot de japonais (même si je lis les katakana, et un peu les hiragana aussi), j'ai quand même terminé les épisodes V, VI et VII en version japonaise - sans soluce !

 Oui, je sais. J'ai Final Fantasy Explorers. Un moment de faiblesse...

Hélas, le Chocobo Racing est protégé contre la copie, il ne passe donc pas sur console "pucée". Mes chouchous : l'édition japonaise de FFVI, le coffret Final Fantasy Collection (regroupant également les versions japonaises des épisodes IV, V et VI) et surtout la démo presse japonaise de FFVII, proposant de jouer l'intro du jeu (jusqu'à l'explosion du réacteur) mais avec Aerith au sein de l'équipe - ainsi, en bonus, que la fameuse vidéo de la démo technique du VI en 3D façon Nintendo 64, qui a fait couler tant d'encre en son temps.

 

 La version "promo" de l'épisode XII m'a été offerte par l'énigmatique Kicehlui.

 Des steelbooks offerts par le vaillant Joniwan, et l'édition collector du XIII-2 offerte par les toujours inénarrables Minmay et SNKForever (je ne pourrais hélas pas y jouer, n'ayant pas la console, mais je me "console avec le artbook")... A noter que ce grand taquin de Karas m'a également offert l'épisode XIII en démat' sur Steam (qui a rejoint dans ma bibliothèque les épisodes IV-The years After, VI, IX et Type 0).

 

Depuis, se seront également ajoutés World of Final Fantasy sur Vita, Final Fantasy VII PSN et Final Fantasy XII sur PS4.

 

 Le jeu de cartes promo du 25ème anniversaire. Il va sans dire que j'ai brûlé toutes les cartes dessinées par Nomura (ou pas).

 

 Les trois starters deck du trading card game en version française (que j'ai eu un mal de chien à trouver, soit dit en passant). Il va de soi que je joue avec celui de l'épisode X, et que je me suis également pris le deck de l'épisode XIII. Ainsi que le tapis de jeu Advent Children et quelques boosters au passage. On ne se refait pas, vous vous souvenez ?

 

 Alors par contre, va peut-être falloir arrêter, au bout d'un moment, Square Enix !

 

 Les derniers arrivés : la version "Chocobo" du pouilleux (amélioré), et un CD des Black Mages signé par Nobuo Uematsu.

 

 Last (ou presque) but not least : une partie des settings ayant servi à réaliser l'animé Brotherhood.

 

L'autel-dans-l'autel-dans l'autel dédié à Yoshitaka Amano (bon, il manque 4 bouquins, que j'avais sortis au moment de la photo, ainsi que quatre DVDs et quatre CD vidéo... mais vous aurez saisi l'idée). Et encore... ça, c'était en 2016.

 

 L'édition anglaise collector de The Sky (précommandée quatre ans avant sa sortie, s'il vous plaît !) (on ne se refait pas. Vous le saviez, ça ?).

 

Quelques illustr' collector encadrées pour habiller les murs : les deux qui accompagnaient l'édition luxe de la bio d'Amano éditée par Pix'n Love (au centre), les trois accompagnant l'édition collector de The Sky (à droite, et en bas à gauche), l'illustration promo' accompagnant le triple coffret de VHS Chaos-Cosmos (en haut à gauche), une carte postale accompagnant un CD single illustré par le Maître et un Puzzle promotionnel de Rebus (Legend of Kartia)... reste à trouver où fixer mes deux éventails en pin japonais.

Une espèce de gros badge en métal non-identifié (je ne suis plus à ça près).

 Ma fierté, mon coup de coeur, mon fils, ma bataille : une litho numérotée offerte l'année dernière par ma joyeuse bande de bro : Vithia, Snake_in_a_box, Chocolat, Karas, PYT et consors (j'espère ne pas en oublier :(  Mon cerveau a buggué, ce jour-là)...  On ne dirait pas, comme ça, mais elle est immense ! <3

 

 Quatre magnifiques dessins originaux offers par notre Dan national. <3

 

Un magnifique Chocobo en perle hama appelé Népomucène du Plantier de Nabab et

fait main par Monsieur le Mauve Ranger en personne,

a.k.a Dranzer de son pseudo,

accompagné de son mode d'emploi en suédois et de son steelbook Final Fantasy XV personnalisé ! <3

 

 Enfin, deux cadeaux de ma PYT d'amour à moi que j'aime fort : un Mog en picel art acheté chez Geek Krafts, qui fait décidément de bien belles choses, et une carte d'anniversaire faite main à l'effigie de mon alter-ego de pixels,  dessinée par la Miss en personne. Si c'est pas le collector ultime, ça, ça y ressemble bien <3

 

Et...

 

C'est tout !

 

J'avais bien prévenu, qu'elle était petite, ma collection. Mais j'en suis très content.

 

Bon, c'est pas tout ça mais j'ai Final Fantasy XV à faire, maintenant.

A dans 20 heures ! (lol).