Far Cry, l'une des licences sucées jusqu'à l'épuisement avec Assassin'sCreed par Ubisodft débarque sur Xbox One, PS4 et PC. Le problème de Far Cry c'est qu'il n'a pas eu le droit à une pause salvatrice comme l'a eu AC, alors far Cry 5 va-t-il avoir le même succès critique qu'Origins ?

Nous voilà donc dans le Montana et plus précisément dans l'Hope County, une contrée totalement fictive où une secte de Redneck complètement taré contrôle la région, mené par les frères et sœur Seed, avec à leur tête "le Père" Joseph Seed qui n'est pas le père, hein, juste le curé. Bref ils sont tous aussi tarés les uns que les autres.

Techniquement, on reste sur le Dunia Engine, du coup même s'il y a plus d'effet à l'écran, j'ai quand même l'impression de ne pas avoir un gap technique par rapport à Primal, mais ne soyons pas rabat-joie le jeu reste superbe, la faune et la flore sont tout ce qu'il y a de plus convaincant, les effets de lumière à travers les arbres, la brume, c'est beau, mais pas de quoi me dire que c'est largement au-dessus de Primal.

En ce qui concerne le gameplay, on prend les mêmes et on recommence tout en ayant supprimé le craft des accessoires comme les ceintures de munitions etc., le tout se retrouve dans un système d'upgrade par point de compétences, fini d'aller chercher des peaux de bêtes pour se confectionner un nouvel équipement, ce qui n'est pas plus mal.

Dans la vidéo, vous avez peut-être remarqué que j'avais un peu du mal, à m'enthousiasmer, faut dire que j'avais l'impression de jouer à un skin de Far Cry Primal dans les temps modernes (la forêt tout ça), sans vraiment de nouveautés propres, mais j'avoue qu’après un peu moins de 8 heures de jeux, je suis de plus en plus emballé par le jeu, l'univers choisi par Ubisoft en est le moteur principal, la guerre entre les survivalistes et les rednecks fanatiques est lancée.