Imaginez un E3 parallèle, où les constructeurs d'hier refont surface pour mieux éclipser cette next gen qui vous épie, vous interdit, vous spolie. Cet E3, c'est du Sega Direct. Directe du droit avec le retour de la GameGear qui explose en mille morceaux la PS Vita. Et un directe du gauche, avec cette Dreamcast 2 dans ses plus beaux atours, garnie de jeux - des vrais -  par centaine de mille.

Le retour du roi Sega, c'est aussi l'aspiration à un jeu vidéo débarrassé des enjeux qui dépassent le simple cadre de l'amusement et dont on nous fait croire l'urgente nécessité...