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Peu à peu, la parole se libère dans l'industrie du jeu vidéo, et alors que la liste de studios impliqués dans des scandales s'allonge, les témoignages révèlent des pratiques ancrées un peu partout, et notamment chez un certain studio Paradox.

Voilà maintenant 18 mois que le français Ubisoft doit jongler entre les scandales multiples qui touchent un à un ses plus hauts dirigeants, et les nombreuses démissions qui s'en suivent.

Le premier weel-end de décembre s'est déroulée la DreamHack Winter, avec des tournois sur 7 jeux différents, dont Rainbow Six siege et CS : GO.

Marshall Bruce Mathers nous avait bien mis en garde : la vie ne vous offre parfois qu'une chance, une seule opportunité, pour se saisir de ce que l'on a toujours désiré. Et parfois, on tente sa chance, mais on se perd en chemin. 

Le studio derrière Hitman et Kane & Lynch, qui a connu deux années très compliquées avec licenciements et indépendance retrouvée avant un mariage avec Warner, semble aller mieux. La preuve avec l'annonce d'une antenne dans un autre pays du Nord.

Les temps sont plus que jamais bien compliqués pour les survivants coincés dans leur univers post-apocalyptique : alors que nous apprenions avec une certaine tristesse la fermeture du studio Telltale, réputé pour sa série basée sur The Walking Dead, en octobre dernier, voici que la licence porte une nouvelle fois la poisse aux suédois de Starbreeze. 

Avec son année 2018 record, Paradox Interactive a pris la décision d'ouvrir un nouveau studio (en plus des rachats de licence au cours de l'année) sur le sol américain.

Si certains font allègrement péter le champagne à l'annonce de leurs résultats financiers du premier trimestre de l'année 2019, pour d'autres, il faudra se contenter d'avaler une soupe à la grimace, qui ne passe, comme chacun sait, que rarement bien...

Sorti il y a bientôt un an, le jeu de stratégie minimaliste et passablement suédois Bad North continue de faire parler de lui, à la faveur d'une extension aussi gratuite qu'imminente. 

Alors que certains pratiques que l'on qualifierait volontiers d'archaïques continuent régulièrement de braquer un coup de projecteur salvateur sur les pratiques du développement de jeux vidéo, certains acteurs de l'industrie ont finalement décidé que l'on était jamais mieux servi que par... soi-même.