Bioshock n'est pas une révolution. Ce n'est pas un Deus Ex, ce n'est pas le meilleur FPS de tous les temps. Les critiques du monde entier sont tellement dythirambiques à son sujet, que c'en devient suspect. Pourtant, malgré tout ça, et des heures à jouer tout en réfléchissant à tout ce que ce titre représentait d'attentes et de fantasme, je dois me rendre à l'évidence : Bioshock
Cinq ans ! Cinq ans pour qu'enfin je découvre ce jeu dont on a m'a tant vanté les mérites. Et malheureusement, navré d'avance, je n'ai pas eu l'impression de rencontrer ce que tout le monde s'est accordé à appeler une oeuvre majeure. Je dois pourtant reconnaitre que j'ai été bluffé par l'univers qui entoure ce jeu. Le travail de recherche historique et de direction artistique est
Avant toute chose, impossible d'écrire une critique de Bioshock sans revenir sur son introduction. D'abord perdu au milieu de l'océan atlantique, entouré par les flammes et les débris de son avion, le joueur est rapidement plongé dans les profondeurs sous-marines. L'occasion pour lui de découvrir pour la première fois Rapture, splendide cité engloutie, et ses buildings parsemés de