Lorsqu'on a découvert pour la première fois ces visages, souvent connus pour les amateurs de films et séries américaines, criants de vérité, et cette ambiance années 40 soignée, L.A. Noire a vite été propulsé vers le haut du classement des jeux les plus attendus de la rédaction. Sa copieuse histoire digérée, faut-il vraiment y voir le premier pas d'une révolution annoncée ?
Gameplay : 4/5 : Manier Cole Phelps ne pose pas de problèmes particuliers, que ce soit lors des phases d'enquêtes ou lors des courses poursuites. Seul le système de couverture est un peu pénible pour s'enlever de cette dernière justement. Conduire n'est également pas très simple puisque le trafic est dense et que les véhicules ne se poussent pas forcément, même avec la sirène activée.
Il aura su se faire attendre. Après une annonce en 2006, un long silence radio de plusieurs années, un changement d'éditeur (perte d'exclusivité) et un parti pris risqué de créer un gameplay différent des GTA-like, on pouvait craindre que LA Noire porte les cicatrices d'un développement mouvementé. Et pourtant le miracle est là proposant un excellent jeu d'aventure dans le Los Angeles de