5. Katamari Damacy (PlayStation 2, 2004)

Prince qui roule n'amasse pas mousse. Non. Il amasse tout ce qui s'approche d'un peu trop près de ses boules appelées Katamari. Une vache, un train, un nuage, une planète : absolument TOUT y passe pour aider le Roi du cosmos à recréer les étoiles. C'est un peu taré, du début à la fin, et le design ainsi que la bande-son n'aident pas à penser que toute la série a été créée sur un malentendu. Ça sent les substances illicites à fond, t'entends ?


4. Boong-Ga Boong-Ga (Arcade, 2001)

Mettre des fessées ou, en toute simplicité, insérer deux doigts dans l'anus d'une personne désignée comme étant un(e) ex, un gangster, une belle-mère ou encore un pédophile, voilà le genre de défoulement que ce jeu d'arcade coréen et sorti au Japon, avec postérieur intégré, propose. Et vous voulez encore mieux ? Si vous êtes performant(e), vous vous voyez offert un petit caca doré. Voilà voilà.


3. Cho Chabudai Gaeshi (Arcade, 2009)

Au Japon, pour manifester son mécontentement, on n'y va pas par quatre chemins. A travers plusieurs scenarii vous permettant d'incarner un père de famille agacé ou une mariée furibarde, vous allez expérimenter le crash mode de Burnout avec... une table. En effet, il s'agit ici de choisir le bon moment pour renverser le meuble de cette borne d'arcade en réalisant une réaction en chaîne de ouf-malade, avec effet Matrix. Complètement con. Complètement génial.


2. Muscle March (Wii, 2009)

Un fripon vient de s'enfuir avec vos pots de protéines. Vous, fier bodybuilder au look plus ou moins excentrique (à moins que vous ne préfériez incarner un ours polaire), le poursuivez à toute allure, en faisant fi des obstacles. Trouant chaque mur croisé, le gredin adopte une pose qu'il va falloir imiter à l'aide de votre combo Wiimote/Nunchuk avant de secouer l'ensemble pour lui mettre le grappin dessus. Vous avez dit cintré ?


1. Seaman (Dreamcast, 1999)

Comptant parmi la poignée de titres usant du microphone de la regrettée Dreamcast, ce titre de Sega s'avère l'expérience la plus chelou que nombre de joueuses et joueurs ont vécue. Entre le temps passé à ne rien faire qu'espérer un peu d'agitation dans l'aquarium et les échanges hors de toute logique avec un poisson ayant le visage du designer du jeu, Yoot Saito, ce titre dépasse tout ce que l'on connaît.

Comme si ça ne suffisait pas, le narrateur de la version américaine apportant ses conseils pour bien prendre soin de cet animal virtuel flippant n'est autre que Leonard "Spock" Nimoy. Preuve qu'on est bien dans une autre galaxie.