C'est l'été les abonnés de la plateforme Netflix vont pouvoir plonger dans une nouvelle histoire où intrigues politiques, drame et surnaturel s’entremêlent. Parfait pour passer du bon temps en jonglant avec les autres plateformes comme Prime Video ou encore Disney+.

Une nouveauté Netflix qui fait plaisir

Bonne nouvelle pour les amateurs d’animation japonaise : Netflix accueille dès ce 14 août 2025 Mononoke, le film : Les Cendres de la Rage. Il s’agit de la deuxième partie du diptyque initié l’an dernier avec Un fantôme sous la pluie. Sorti au Japon le 26 juillet 2024, le premier film avait séduit par son mélange unique d’esthétique traditionnelle, de mystère et de fantastique. Cette suite reprend le même univers, toujours sous la houlette du réalisateur et scénariste Kenji Nakamura (C-Control).

À la production, on retrouve le studio EOTA, tandis que Kitsuneko Nagata signe le design des personnages, d’après les créations originales de Takashi Hashimoto (Trapeze). Côté bande-son, la musique est confiée à Taku Iwasaki (Gurren Lagann), gage d’une ambiance soignée. Une belle nouveauté Netflix.

Surnaturel

L’histoire de ce nouveau film Netflix se déroule à l’époque d’Edo, au cœur d’un harem où tensions politiques et rivalités s’entremêlent. L’arrivée de nouvelles concubines bouleverse l’équilibre fragile, tandis qu’un esprit vengeur menace la cour. Une fois encore, seul l’apothicaire itinérant, figure centrale de la saga Mononoke, pourrait résoudre ce mystère et apaiser les esprits.

La série et ses adaptations ont toujours misé sur un visuel atypique, mêlant inspirations ukiyo-e, animations modernes et palettes de couleurs marquées. Les Cendres de la Rage ne fait pas exception, promettant une expérience sensorielle qui tranche avec la production animée habituelle sur Netflix.

En arrivant mi-août, le film profite d’une période où beaucoup de spectateurs ont plus de temps libre. Ce qui pourrait lui offrir une belle visibilité. Pour les fans du premier opus, c’est l’occasion de découvrir la suite sans attendre, directement depuis chez eux.