Ho ! Le truc de fou qu'on vient de vous révéler ! IG Mag n°13 est dispo !
Quelqu'un ne le savait pas encore ? Ah, les aléas de la diffusion... On fait toujours tout pour être dans les temps, et là, une semaine dans le vent. Super. Notre faute ? Non, vraiment pas ! La faute d'Ankama Presse ? Pas plus ! Le transporteur ? C'est pas lui non plus... De toute façon, on vous dira pas qui est le vil gredin qui nous a mis dedans. L'ennui, c'est qu'IG est toute de même très lié à l'actualité, et lorsqu'on a une semaine de retard, le préjudice sur les ventes est à considérer. Pas énormément toutefois, car IG reste un mag très copieux et tout n'a pas forcément trait aux news... Mais bon ! On fera tous en sorte que cela ne se reproduise pas ! Sacrebleu.
Bon, je dois vous dire que j'ai eu quand même une surprise en feuilletant la nouvelle et treizième fournée d'In Game. Le cahier rouge. Pour ceux qui l'ont déjà, ils l'auront sans doute noté aussi. J'avoue que ma première réaction a été une très sérieuse déception. Le cahier rouge, c'est celui qui relate les nouveautés, les sorties, avec des tests. 30 pages supplémentaires au détriment des autres rubriques. Et même si je trouve cette partie très bien (elle a le mérite de synthétiser 2 mois de sorties et de news tous azimuts), c'est pas ma préférée. J'ai vite été rassuré. Vous remarquerez qu'il y a encore plus d'interviewes. D'ailleurs, au début, je me suis même demandé si la rédaction n'avait pas remplacé les tests par des interviewes. Donc IG met vraiment l'accent sur les hommes qui sont derrière les jeux. Même si parfois, inévitablement, le langage reste articulé de manière commerciale (on vient faire la promo de ses jeux quand on est en interview), il y a quand même beaucoup beaucoup d'infos.
Enfin, autre petit point noir qui ne vous aura pas échappé, vous tous qui êtes désormais devenus experts du papier et de l'édition : le code-barres qui se trouve sur la première de couv'. Franchement, ça choque pas plus que ça après coup. Ensuite, et bien, Ankama Presse a souhaité ouvrir à la publicité son magazine. On peut comprendre la démarche : un tel mag' a un coût. Et le circuit de la presse exige la publicité. Sans quoi... bah, fini la presse papier ! IG a tenu 12 numéros sans réclame - un exploit. Là, encore, rassurez-vous. Je n'ai dénombré - je crois - que 3 ou 4 publicités (dont la très belle pub de L.A. Noire en 4è de couverture). Donc, rigoureusement rien de méchant !
Séb
Sans doute l'une des photos les plus mal faites qu'on n'ait jamais publiée sur ce blog !