Bonjour à tous,

 

Aujourd'hui on termine la série des Assassin's Creed avec Assassin's Creed Brotherhood. Sorti en novembre 2010 sur Xbox 360 et PS3 ainsi qu'en mars 2011 sur PC, le jeu est développé par Ubisoft Montréal et édité par Ubisoft. Cette fois, Desmond Miles vit à nouveau les aventures d'Ezio, devenu maître assassin. Alors que notre héros croyait avoir réglé ses différends à la fin de Assassin's Creed II, il pensait prendre un repos mérité à Monteriggioni. Malheureusement la ville est attaquée par l'armée de Cesare Borgia de Rome. Mario ne survivra pas à l'attaque et la Pomme d'Eden qu'Ezio avait récupérée, a été volée. Ezio part donc à Rome remettre les pendule à l'heure. Le joueur se retrouve donc dans la capitale de l'Italie, où il faudra toujours assassiner des proches de la famille Borgia, et tout faire pour récupérer la fameuse Pomme, capable de contrôler d'autres êtres humains. Comment Ezio parviendra à ses fins ? C'est à vous de le découvrir, dans ce jeu où l'action ne s'arrête jamais vraiment.

 

 

Assassin's Creed Brotherhood E3 Trailer

 

Du coté du gameplay, on s'appuie sur une méthode qui fonctionne bien : le jeu se classe toujours dans le genre action-aventure avec une bonne dose d'infiltration. Ce qu'il faut noter en premier lieu, c'est que la majorité de l'action in-game se déroule à Rome. Le jeu est beaucoup plus fermé que dans Assassin's Creed II. Il sera question de reprendre la ville, quartier par quartier, à la famille Borgia. A partir de là, le joueur a deux solutions : soit il reprend la ville à la seule force d' Ezio. Difficile et un peu suicidaire comme méthode. Mais des joueurs ont essayé je vous jure. Ou alors l'autre méthode, beaucoup plus facile et plus classe, consiste à recruter des Assassins qui formeront une guilde autour d'Ezio et l'assisteront dans sa quête dès que leur maître les appellera. Les assassins pourront également être envoyés à travers l'Europe pour exécuter des contrats d'assassinat, mais cette feature du jeu ne se résume malheureusement qu'à un écran avec la liste des contrats à effectuer, pas question de chevaucher à travers l'Europe. De nouvelles idées qui enrichissent la licence, mais qui laissent parfois le joueur sur sa faim.

 

 

Assassin's Creed Brotherhood OST : Master Assassin  

 

J'ai acheté ce jeu le jour de sa sortie, et j'en attendais beaucoup après le ravissement que m'avaient procuré les précédents opus. Retrouver Ezio m'enchanta, mais deux choses m'ont rebuté au départ : d'abord la présence famélique de Léonard de Vinci qui n'intervient que très peu pour les armes d'Ezio, et pour une quête annexe qu'il nous demande de remplir. Ensuite le coté fermé, presque confiné de l'aire de jeu, dans la ville de Rome. Pour ce dernier point, je m'étais lourdement trompé. Reprendre la ville aux Borgia, puis reconstruire la ville et ses monuments, m'ont donné une satisfaction très forte. Me sentir comme le maître de Rome m'a ravi. L'accent a été mis, une fois de plus, sur les quêtes annexes, très nombreuses. Ce jeu, finalement, après un premier sentiment négatif, m'a émerveillé. Si j'ai passé en revue la trilogie des Assassin's Creed ce n'est pas innocent : le quatrième opus de la série Assassin's Creed Revelations, qui clôt l'histoire d'Ezio Auditore da Firenze sort mardi prochain, le 15 novembre 2011.

 

A demain pour un nouveau jeu.

 

Vidéoludiquement vôtre,

 

 Utori

 

PS : N'oubliez pas que dans les commentaires de cet article, vous pouvez me suggérer des jeux que vous voudriez voir apparaître dans cette rubrique.