Ha non, en fait, pardon.

Aux temps pour moi.

Il s'agit d'Antonio Bandersnatch, en fait.

 

En ce jour si particulier, j'écrirais bien que j'ai donné tout ce que j'ai pour faire pire que d'habitude, mais hélas, le constat est sans appel : je n'ai pas eu besoin de forcer.

Bonne fête aux serial-blagueurs, aux chats-gamers-garous, aux homonculus aux mains carrées et aux travestis qui aiment porter des vêtements dorés et planter des roses démoniaques dans le torse d'autres travestis adeptes des chaînes et de l'amour fraternel.

Pour ma part, par un des caprices de la destinée chers à John Locke, j'ai profité de l'occasion pour cesser de m'éloigner de la trentaine et commencer à m'approcher de la quarantaine (et ça ne me fait pas trop rire non plus... mais au moins ai-je eu Resident Evil 3DS en compensation)

(P.S. : Noiraude, j'attends toujours ma DeLoreane).