Plus d'un demi-million d'armes pour ce FPS qu'est Borderlands, voilà la grosse annonce que Randy Pitchford réservait pour la première présentation du jeu à la Games Convention. Il aurait dit, je sais pas moi, 80, on aurait froncé un sourcil, mais là difficile de ne pas éclater de rire. Ce n'est pourtant pas une blague, l'équipe de Gearbox Software ayant passé pas mal de temps à concevoir un algorithme pour offrir tous les types d'armes, tous les calibres, toutes les tailles de chargeur, toutes les couleurs, tous les designs... Car c'est une plongée dans l'univers post-apocalyptique de Pandora que nous propose Borderlands, dans lequel le joueur, à la manière de Rage, navigera en véhicule de village en village avec des phases mêlant exploration et aventure, au cours desquelles il pourra donc mettre la main sur cet arsenal varié. Pandora est une planète aux cycles saisonniers particulièrement longs, et les personnages de Borderlands en feront les frais alors qu'un hiver de 10 ans prend fin, en même temps que l'hibernation des créatures locales.

Si le futuriste à tendance post-apocalyptique semble très à la mode (Fallout 3 et Rage pour ne citer que les plus gros), c'est aussi clairement le cas du gameplay coopératif à 4 (déjà mis en avant dans Halo 3, ou Haze), autre composante de Borderlands. Partouze et désolation semblent donc être les deux mamelles de l'inspiration des développeurs en ce moment.