L'éditeur du J-RPG par excellence aimerait bien savoir ce que vous avez pensé de sa refonte du classique de 1997 : le site officiel japonais de Square Enix vient de publier un questionnaire exhaustif, qui trahit entre les lignes les interrogations de ceux qui planchent en ce moment sur la suite sans nom.

Opening - Bombing Question

Accessible avec un compte français, le formulaire s'attache, après vous avoir demandé votre âge et autres indiscrétions, à savoir comment vous avez entendu parler de Final Fantasy VII Remake, histoire de voir si les petits gars du département marketing ont bien fait mouche.

Mais le plus important semble être le profilage des rôlistes de 2021, puisque l'éditeur tente de comprendre les dynamiques qui se dessinent parmi son public, en différenciant ceux qui auraient simplement profité de la version PS5 du jeu pour explorer les deux chapitres consacrés à Yuffie, et ceux qui auront (re)pris le train. Le passif semble également revêtir une certaine importance, puisque vous serez interrogé sur votre connaissance de Final Fantasy VII et de son univers en expansion constante. Histoire de voir jusqu'où il serait raisonnable de piocher ?

Square Enix se demande également quel mode a été privilégié entre l'affichage 4K et les 60 fps tous deux ajoutés dans Intergrade, et si vous pensez déjà acheter "la suite de l'aventure" lorsque celle-ci daignera arriver.

C'est sans doute la dernière question qui pourrait permettre à certains de tirer des plans sur la comète, puisque la question du support se pose sans détour : si Intergrade n'est pour le moment disponible que sur PS5, l'éditeur semble n'écarter aucune piste, puisque qu'on trouve aux côtés de la Switch et des différents modèles de Xbox smartphones et tablettes, et même de futures consoles qui ne seraient pas encore sorties.

Avec la fin de l'exclusivité de Final Fantasy VII Remake (tout court) désormais caduque, Square Enix s'apprêterait-il à porter les aventures de Cloud & Co sur tous les supports ? De là à imaginer une Pocket Edition, il n'y a qu'un pas que nous ne franchirons évidemment pas. Oh que non.

Et pour ceux qui se sentiraient concernés, dépêchez-vous : l'enquête se termine le 2 août prochain.