C'est accompagné par l'accent anglais bien costaud du directeur créatif de Media Molecule, Mark Healey, que l'on peut ici voir une partie de Dreams progresser en toute tranquillité en commençant par le choix de son avatar, un Imp (diablotin ?).

On aperçoit trois modes principaux : le Dream Surfing, où l'on joue, l'Untitled Dreamer, zone où vous discutez avec vos amis, et le Dream Shaping. Et c'est ce dernier, qui permet de créer, qui est abordé. Et là, le délire semble infini. Vous allez faire ce que vous voulez. Importer ce que vous voulez. Et les gens connectés pourront parfaitement reprendre, transformer... C'est la vie. Mais on peut se demander à quoi les développeurs n'ont pas encore pensé.

On attend toujours que Dreams, attendu depuis son annonce en 2013, balance une date de sortie sur PS4 pour cette année.