Il faut choisir son camp. Et surtout le montrer. C'est la base d'une bonne communication pour ensuite être bien vu. Blizzard l'a bien compris. Et alors que Star Wars Battlefront II est sur toutes les lèvres à cause de son système économique discutable, la société d'Irvine sort la grosse artillerie.

Le but : faire comprendre que StarCraft II est passé free-to-play. La manoeuvre, clamer qu'on peut avoir l'essentiel sans rien dépenser sur Twitter avec le compte officiel de la licence.

Nombre d'heures requises pour jouer à toute la campagne de StarCraft II : Wings of Liberty : 0.

Nombre d'heures avant de pouvoir jouer avec N'IMPORTE QUEL Commander dans StarCraft II : 0.

Nombre de mécaniques pay-to-win dans StarCraft II : 0.

Et pour finir, il y a un des spots publicitaires dans lequel un fils demande un peu d'argent à son père pour acheter des unités plus fortes sur son RTS... Ce dernier lui rétorque, en prenant le grand-père champion d'eSport comme exemple, qu'il n'est pas question de dépenser quelque chose pour être bon. Savoureux.

Camille me susurre à l'oreille que c'est un peu gonflé de la part de Blizzard, qui compte dans sa ludothèque un certain HearthStone qui, pour beaucoup, la joue bien pay-to-win et que Diablo III avait à son lancement un cash shop.

Et puis, quand on est affilié à Activision, qui a déposé un brevet très étrange pour le matchmaking... Enfin bref.