La Formule 1 de mon enfance me rappelle ces longues siestes digestives du dimanche. Celles où j'admirais d'un coin de l'oeil les courbes de la magnifique Benetton Renault. Celles où l'on pariait, en famille, sur le virage qui allait envoyer Jean Alesi dans le gravier. Celles aussi où le générique de "Top Position" réveillait le plus ivre de mes oncles. En jouant sur cette corde nostalgique,