Au Japon, dans le cercle fermé des licences qui comptent vraiment, deux sont particulièrement énormes : Dragon Quest et Pokémon. Du coup, quand on prend de l'une pour la fusionner avec l'autre, on s'attend forcément à voir apparaître une sorte de Mechagodzilla du jeu vidéo. Mais le lézard robotique géant a beau être sympathique, on ne peut s'empêcher de préférer l'original, 100 %