6. Silent Hill

Le Silent Hill original, sorti sur PSOne en 1999, ne jouait pas forcément dans le même registre que Resident Evil, auquel on va souvent l'opposer. Il n'empêche qu'outre l'ambiance malsaine et étouffante, il avait quelque vilains moments à nous offrir.

L'exploration d'une pièce remplie de casiers figure parmi ces phases où l'on aimerait se douter que les développeurs aiment user de mécaniques de diversion très efficaces...


5. Dead Space

Les Necromorphs qu'affronte Isaac Clarke ne sont jamais les derniers pour la déconne. Dans ce premier volet, puisqu'on ne les connaît pas encore très bien, ils la jouent d'abord discrets, filous, voire même fripons.

Ils profitent toujours du répit que l'on semble avoir mérité pour surgir plus rapidement que la foudre et vous flanquer les miquettes. Ajoutez à cela qu'il faut les démembrer pour les mettre définitivement hors d'état de nuire et l'horreur est totale.


4. Outlast

Ah, Outlast. Quelle saleté. Calibré simplement pour vous faire changer de futal le plus souvent possible, il enchaîne les petites surprises au moment où l'on s'y attend le moins. Preuve ici (où, je ne vous le dirai pas) mais aussi avec ce passage labellisé Cauchemar en Cuisine.

Enfin, si vous voulez d'autres exemples concrets de l'effet que nous a fait le jeu de fuite en vue subjective signé Red Barrels, un LIVE avec la délicieuse (mais néanmoins effrayée) Carole Quintaine est à consulter ici.