Mindseye est à peine disponible pour tout le monde que le jeu rencontre déjà de nombreux problèmes. C’est même une petite catastrophe, à en croire les premiers retours et témoignages de joueurs. Que sait-on exactement ?
C’était censé être un coup d’éclat. Une vitrine ambitieuse pour l’univers connecté d’Everywhere, le projet tentaculaire de Build a Rocket Boy. Mais Mindseye, le tout premier jeu solo issu de cette plateforme, s’est transformé en cauchemar dès sa sortie. Plantages, bugs, optimisation bancale… Le jeu est à peine jouable pour de nombreux joueurs. Et les retours sont sans appel.
Un accueil glacial sur Steam pour MindsEye
Sur Steam, c’est la douche froide. MindsEye affiche à peine 34 % d’avis positifs. Autrement dit : la majorité des joueurs sont déçus, voire franchement en colère. Et ce n’est pas une question de goût. Les critiques pointent toutes les mêmes problèmes à savoir bugs à répétition, crashs intempestifs, et surtout une optimisation catastrophique.
Même sur des PC puissants, le jeu tourne mal. Chutes de framerate, textures qui ne chargent pas, cinématiques qui ne se lancent pas… L’expérience est pénible, et parfois même bloquante. Pour un titre qui se veut narratif et immersif, ça casse un peu l’ambiance.
Sur PS5, le jeu plante parfois… dès les premières minutes
Et ce n’est pas mieux sur console pour MindsEye. Sur PS5, certains joueurs n’ont même pas pu commencer leur partie. Après quelques minutes, le jeu plante purement et simplement. Un message d’erreur s’affiche, demandant d’envoyer un rapport à Sony. C’est le genre de bug qu’on croise rarement sur console, encore moins au lancement d’un jeu aussi attendu. Sur les réseaux sociaux, les vidéos montrant ces crashs se multiplient. Et l’image du jeu en prend un sérieux coup.
Malgré ce lancement raté, tout n’est pas encore fichu. Le jeu intrigue par son univers futuriste et son ambition narrative. Certains joueurs saluent même sa direction artistique et son atmosphère. Mais pour que Mindseye puisse se relever, il faudra réagir vite. Il est urgent de déployer des correctifs, d’optimiser le moteur, et surtout… de restaurer la confiance. Pour Build a Rocket Boy, c’est un vrai test. Et l’image d’Everywhere pourrait en pâtir si le studio ne prend pas les devants.
Source : Steam