HBO Max, pour conclure le mois de novembre en beauté, propose deux films totalement cultes de l’histoire du cinéma. De quoi s’offrir quelques bons fous rires jusqu’à en perdre son souffle.
HBO Max continue d’étoffer son catalogue avec des ajouts qui feront sourire les fans de cinéma comique. Deux volets emblématiques de la saga Austin Powers arrivent dès aujourd’hui sur la plateforme : L’espion qui m’a tirée et Goldmember. De quoi se replonger dans les aventures absurdes du plus improbable des agents secrets.
Le retour d’un mythe de la comédie sur HBO Max
Sortis respectivement en 1999 et 2002, ces deux films ont largement contribué à installer Austin Powers comme une véritable icône du cinéma parodique. Toujours incarné par l’inimitable Mike Myers, l’agent le plus kitsch de Sa Majesté repart ici combattre le machiavélique Docteur Denfer… avec son style aussi improbable qu’inoubliable. De quoi bien rire sur HBO Max.
Ces deux épisodes regroupent tout ce qui fait le charme de la saga : humour irrévérencieux, références pop à la pelle, répliques cultes et situations absurdes. Les spectateurs retrouveront aussi des rôles secondaires devenus mythiques : Mini-Moi, Numéro Deux, Basil Exposition ou encore Fat Bastard.
Austin Powers, un classique
Ce deuxième opus apporte une énergie totalement déjantée à la trilogie. Austin y retourne dans les années 60 pour sauver le monde, et sa propre virilité, après un nouveau plan délirant de Docteur Denfer. Voyages temporels, gadgets ridicules, chorégraphies surprenantes… le film pousse l’absurde encore plus loin que le premier volet. HBO Max frappe fort.
Trois ans plus tard, Goldmember arrive et remet une couche de folie. Austin doit ici affronter un nouveau méchant, Goldmember, accompagné de stars invitées dans un festival de caméos qui a marqué toute une génération. Le film assume totalement son humour excessif et devient le volet le plus spectaculaire de la trilogie. Avec ces deux ajouts, HBO Max propose un duo parfait pour une soirée comédie. La saga Austin Powers reste aujourd’hui encore une référence de la parodie à l’américaine, avec des scènes devenues virales bien avant l’ère des réseaux sociaux.