Si tout le monde n’a que Hogwarts Legacy aux bords des lèvres lorsque l’on parle des cartons du mois de février, il ne faut pas oublier qu’un autre jeu a fait énormément parler de lui à cette période. Atomic Heart, celui que l’on nomme également le Bioschock russe, a fait énormément de vagues. Très critiqué, pris pour cible par de très nombreuses polémiques, le jeu a tout de même trouvé son public et s’est fait de nombreux fans. Quoi de plus normal d’ailleurs puisque, quoi qu’on en dise, Atomic Heart est un jeu solide et une vraie masterclass artistique.

Un premier DLC pour Atomic Heart

Fort de ce succès, le studio Mundfish a décidé d’offrir du nouveau contenu à ses joueurs et vient de révéler les premières images de son prochain DLC. Cette toute première extension débarque cet été sur tous les supports. Malheureusement, on ne sait absolument rien de ce qu’elle proposera à l’heure actuelle si ce n’est que l’on sera amené à visiter des lieux encore jamais vus auparavant. Le complexe 3826 a encore beaucoup de secrets à nous révéler.
Mundfish a toutefois partagé une courte vidéo dans laquelle on peut apercevoir une toute nouvelle zone à la direction artistique de haute volée, une fois encore. Portée une nouvelle fois par un opéra inspiré de l'ancienne Russie, Le Prince Igor.

Ce premier DLC d'Atomic Heart ouvrira le bal de l’Atomic Pass, le Season Pass maison qui comprend l’accès à pas moins de quatre extensions. Le studio avait d’ailleurs promis que l’on verrait de nouvelles zones inédites, de nouveaux boss des armes et des laboratoires en tout genre.

Pour rappel, Atomic Heart nous met dans la peau d'un bon vieux soldat de la Mère Patrie dans une Russie alternative des années 50. Le pays a connu un véritable boom technologique au point de développer des robots, des IA et des gadgets en tout genre surpassant tout ce qui se fait ailleurs. Les scientifiques, les artistes et autres élites ont alors crée un complexe titanesque pour y faire vivre toute leur folie. Et c'est là que tout se met à déraper.

Prêt à replonger dans cette Russie alternative ?