Une fois que la Megadrive n'était plus dans mon salon, je me retrouvais en manque de Sonic et autre Shinobi. Et la sortie de la Sega Gamegear, portable couleur aguichante, pouvait être un remède à cet état.

Toutefois, je dû me l'avouer rapidement. Si cette console affichait de superbes graphismes en couleur, elle n'était pas au niveau de la Nintendo Gameboy, tant en ce qui concerne la prise en main que de la logithèque.

Et puis, la consommation en piles absolument gargantuesque m'aurait obligé à prendre des actions chez Wonder pour rentabiliser le truc.

Quelques jeux

Outre Sonic que l'on retrouve avec plaisir, on peut ainsi prendre en main Mickey - mais sans la magie de la version Megadrive, ou encore Columns. C'est d'ailleurs ce dernier jeu qui aura le plus tourné sur la portable. En voyage, ou pour un petit moment à la maison, hop, quelques niveaux de Columns...

Finalement, avec sa mauvaise autonomie, cette console aura peu quitté mon appart' et elle permet de se plonger en quelques secondes dans un jeu simple et délassant. Les prémices de ce que l'on va appeler plus tard le casual gaming ?