Le magazine médical Molecular Psychiatry a en effet publié les résultats d'une étude scientifique québécoise concernant l'impact des FPS sur le cerveau. Selon ces scientifiques, l'abus de shooter à la première personne atrophierait certaines zones du cerveau comme l'hippocampe (pas le cheval de mer), qui joue un rôle central dans la mémoire et la navigation spatiale.

Résultat ? Plus de dépression et de désordre mental type schizophrénie. En fait la problématique viendrait du fait que chez 85% des sujets testés, c'est une autre partie du cerveau qui est sollicitée en lieu et place de l'hippocampe. Réduisant ainsi le total de la matière grise.

Un des spécialistes explique :

Il faut se montrer prudent lorsqu'on encourage les enfants, les jeunes adultes et les autres adultes à y jouer.

Le scientifique précise que pour réduire le phénomène il faudrait réaliser des jeux d'action avec moins d'aide type GPS pour solliciter un peu plus l'hippocampe notamment dans le repère spatial.

Maintenant, les joueurs peuvent facilement choisir de naviguer dans un jeu sans avoir besoin de créer des liens entre des points de repère, un mécanisme fondamental de l'apprentissage spatial.

Evidemment il s'agit là d'utilisation intensive mais l'étude ne précise rien sur les autres types de jeux ni même sur les autres habitudes d'utilisation. Nul doute qu'un gameur qui s'adonne à des activés intellectuelles soit moins sujet à ce type de problématique.

Dans tout les cas et ce malgré notre cerveau affreusement atrophié nous rapprochant encore un peu plus de l'état de mollusque, nous allons tout de même continuer à suivre cette Gamescom avec vous et continuer de vous parler des FPS.

Non mais !

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