Lorsque le site GamingBolt demande à Eric Langyel de comparer PS4 et Xbox One celui-ci déclare : 

Lorsque l'on s'attarde sur la conception technique, on découvre que Sony a pris nombre de décisions avisées. C'est incroyable d'avoir un GPU rapide et polyvalent qui peut accéder à un nombre impressionnant de mémoire vive. La Xbox One n'est pas bien différente, mais la mémoire plus lente et l'irritation provoquée par la présence d'éléments tel que l'eSRAM sont décevants.

Il convient toutefois de nuancer le propos. On se rappelle ainsi les déclarations de Jean-Baptiste Bolcato de Rebellion Games, à l'oeuvre sur Sniper Elite III, qui soulignait que l'eSRAM était simple à utiliser et ajoutait :

La PS3 était plus difficile à programmer que la Xbox 360. Maintenant c'est comme si les choses avaient été inversées, mais ça ne veut pas dire que (la Xbox One) est beaucoup moins puissante, c'est juste une galère au début.

Bref, ce n'est pas tant le côté technique de la Xbox One qui est remis en compte ici, mais bien le "professionnalisme" de la firme de Redmond. Aspect sur lequel insiste lourdement Langyel

 Le C4 est actuellement exclusif à la PS4 pour la seule et unique raison que Sony fut bien plus coopératif que Microsoft lorsque nous cherchions à convertir le moteur pour les consoles next-gen. 

A cela le fondateur de Terathon Software ajoute un commentaire cinglant : 

Microsoft ne nous a pas répondu avec la moindre once de professionnalisme, et ce n'est qu'un élément de plus à jeter sur la pile des erreurs de communications entourant la Xbox One.

Un commentaire acerbe, qui n'est certes pas isolé, mais est loin d'être généralisé. En effet, concernant sa communication, et plus particulièrement celle concernant les développeurs indépendants, Microsoft a récemment annoncé la venue de nouveaux grands noms tels que Double Fine, Vlambeer, Halfbrick... 

[Source : GamingBolt]