En effet, comme le rapporte un tweet de l'Information Commissioner's Office (l'autorité indépendante du Royaume-Unis en charge de la protection des données), Sony ne fera pas appel et se contentera de régler l'amende avoisinant les 300.000 euros.

Un représentant de la firme a par ailleurs expliqué cette décision en affirmant qu'il s'agissait d'une preuve de l'engagement du groupe à sécuriser le PSN...

A croire que nous pouvons donc désormais dormir paisiblement sans avoir à craindre un éventuel nouveau piratage de nos données personnelles.