J'arrête, j'arrête pas, rumeur, pas rumeur, fermeture, pas fermeture... Ça fait quelques mois déjà qu'on nous balade un peu au sujet de GSC Game World et d'un de ses jeux en développement, le très attendu S.T.A.L.K.E.R. 2. Le studio ukrainien était censé fermer ses portes, et arrêter le développement du jeu, puis la page facebook officielle nous fait le plan du "ah, non, on revient de vacances et on reprend le boulot sur le titre ! Youpi !".

Puis silence radio, jusqu'à ce que le compte Twitter du studio ne balance la vidéo ci-dessus de quelques animations prévues pour le titre. Histoire de signifier que ça avance, sans doute.

Seulement voilà : Nofrag, qui n'est pas le dernier pour couvrir l'actu des FPS loin s'en faut, a posté ce weekend un nouveau rebondissement. Alex Sytyanov, scénariste et concepteur sur S.T.A.L.K.E.R. 2 a donné une interview en russe, qui, une fois passée à la moulinette du traducteur automatique, puis réarrangée en français compréhensible par Nofrag, donnerait :

L'activité de GSC a été suspendue. Bien que le studio ne fonctionne plus, Grigorovitch a encore la possibilité de revenir sur sa décision et de redémarrer le développement de Stalker 2. Une bonne partie des développeurs est restée groupée. On en a perdu quelques uns qui sont partis, mais le squelette, la base de l'équipe est restée. Nous avons décidé de ne pas communiquer la moindre information sur Stalker 2 qui pourrait porter préjudice au projet. Selon moi, la fermeture du studio n'est pas liée au crime organisé ou à une quelconque faillite. Le propriétaire du studio, Grigorovitch Sergei, n'était pas très impliqué dans "Stalker" et il gardait ses distances avec le développement du jeu. Sa tâche consistait uniquement à le financer. Peut-être s'agissait-il pour lui d'un fardeau moral [NDT : pas sûr de ce qu'il a voulu dire par là...]. Mais pour l'instant, Grigorovitch n'a pas encore annoncé la véritable raison de la fermeture à qui que se soit.

Perso, je n'y comprends plus grand chose, si ce n'est que tout ça a tout de même l'air d'être un joyeux bordel.