J'avais prévu de vous parler uniquement de la nouvelle Lara Croft. De sa poitrine vaillante, de son - si ferme et si fondant - fessier d'amazone, de ses lèvres mutines. De ce que toutes les petites misères qu'elle subit dans le reboot de Tomb Raider peuvent laisser comme traces sur son appétissante chair. J'aurais fini par un "c'est ça la presse, coco". On aurait fait péter les audiences. Et
Je me souviens après ma première partie avoir aimé les gunfights mais sans vraiment me rappeler d'un seul. Je sais pourquoi maintenant. L'architecture des niveaux est complètement loufoque, et les décors sont parfaitement idiots. Un moment on arrive dans un bidonville. Un bidonville, c'est un ensemble d'habitations pauvres, la misère. Dans Tomb Raider, c'est un assemblage de plaques de tôle
Déjà brillamment "rebootée" par CRYSTAL DYNAMIC en 2006, Lara Croft fait à nouveau peau neuve avec ce second reboot sobrement intitulé TOMB RAIDER censé nous conter les origines de la sage, un peu à la manière d'un Christopher Nolan pour Batman ou d'un Martin Campbell pour James Bond. Pas de doute, notre Lara a souffert.Inutile d'argumenter sur la qualité globale du jeu qui est, en