Comme dans le Fury Road de George Miller, le début de ce Mad Max voit notre héros dépossédé de son bien le plus précieux, l'Interceptor. Fort heureusement, il trouve rapidement un allié (un mécano répondant au doux nom de Chum) qui, percevant en lui le messie du pilotage, lui propose de construire l'ultime cylindrée, la Magnum Opus. Cette course au plus rutilant des bolides - véritable
Après un long processus d’auto-questionnement, je me suis enfin décidé, j’ai acheté le jeu en prévoyant, au pire des cas, soit sa revente à moitié prix ou son échange grâce à un généreux ami à moi.Voyons donc un peu ce qu'il en ressort, La direction artistique, elle est tout simplement bluffante, l’univers de Mad Max est parfaitement reconnaissable et magnifiquement