Super Castlevania IV
Genre : Plateforme/Action
Editeur : Konami
Année de sortie : 1992
Support : Super Nintendo
Ce petit jeu vidéo de cul repousse les limites du fétichisme en nous proposant une quête sexuelle bien intense : Simon Belmont, un furieux adepte du SM particulièrement désaxé, ne peut prendre son plaisir qu'en fouettant des démons anxiogènes et divers monstres solipèdes avec sa grosse chaine en métal. Son fantasme sado ultime étant de pouvoir rouer roborativement de coups, à l'aide de son martinet enchanté, le fondement des Carpates de Dracula himself. De là commence un long voyage initiatique et décadent dans les donjons les plus branchés de Roumanie à l'architecture piégeuse, le tout, poursuivi inlassablement par un musicien en mode furtif jouant du clavecin et de l'orgue de barbarie. Un véritable Charlie Oleg version Goth que Simon ne débusquera d'ailleurs jamais dans les dédales sombres du château...
Finalement, après avoir manié le fouet de façon fordiste et atteint des mini-orgasmes à répétitions en punissant respectivement un squelette géant, Médusa herself, des dragons siamois jusqu'à une authentique chauve souris en diamant, il se trouvera enfin nez à nez face au roi des vampires. Avilie par la puissance engrangée lors de ses précédentes rixes punitives, il réussira à produire la séance de bondage parfaite en le martelant métronomiquement de son auguste fouet turgescent malgré ses nombreux tricks malfaisants bien fourbes. Ce qui procurera à Belmont une extrême jouissance en josace. Surtout au moment où la créature Davilienne rendra son dernier soupir avec le sentiment de plénitude d'avoir érigé un événement historique et fondateur des préceptes du sado masochisme. Au terme de cette très longue et harassante séance fétiche qui marquera les annales du BDSM, en guise de récompense, Simon aura également gagné le droit de se retaper le même périple, mais avec plus de streums anxiogènes à châtier... Bref, le SM atteint avec Super Castlevania IV ses lettres de noblesses.
