Salut toi !

Ce soir, c'est le petit garçon que j'étais qui se confie...

 

 

 

Je me suis récemment mis à à The Elder Scrolls V - Syrim, sur ma fidèle PS3. L'autre soir, j'ai entamé la quête de la Griffe d'or, une des toutes premières du jeu. Assez glauque cette descente. Mais alors quel rapport avec ce mignon petit Spyro ???

 

Arachnophobe, rebrousse ton chemin !

 

Et bien lors de cette quête, nous faisons la connaissance d'une sympathique créature de Bordeciel, une araignée dopée aux hormones, d'un bon mètre quatre-vingt dix, surnommé givrépière. Une photo de la bête :

 

CHEEEEEESE !

 

Si peut être certains d'entre vous, ont sursauté en la voyant, je vous avoue qu'à part un peu de dégout, cette araignée ne m'a procuré qu'un grand sourire aux lèvres...

 

En effet, voilà l'araignée de pixels qui m'a donné de nombreuses sueurs froides étant petit :

 

Créature du Satan !

 

Je vous avoue que rien que le fait d'avoir l'image sous les yeux me perturbe. Ces araignées là, bien que cartoonesque, ont pendant longtemps été mon cauchemar de Gamer. Tapis dans la pénombre de leurs grottes, elles n'attendaient que notre passage pour nous sauter dessus et nous choper avec leurs grosses pinces pointues ! En plus, elles étaient naturellement invincibles : il fallait utiliser un bonus de flammes (chronométré, donc stress supplémentaire) pour s'en débarasser.

J'ai longtemps esquivé le niveau en question. Les rares fois où j'ai pris mon courage à deux mains, pour les affronter ça n'a pas été une partie de plaisir : montée en température, coeur qui bat, mains transpirantes, la totale !

Comprenez qu'en rencontrant la (le ?) givrépière de Skyrim, sans bondir de mon canapé, je me suis dit : "Hey je suis guéri ! Le petit garçon flippé par les araignées plus grosses que moi a gagné en assurance !" Comme quoi l'imagination joue réellement un rôle dans le ressenti des choses et la perception d'un environnement.

 

Confession de yochau, désormais arachnophile (enfin non j'veux pas !)