Alors que les joueurs espéraient peut-être découvrir de nouvelles informations crousti-fondantes sur le ô combien attendu Breath of the Wild 2, le réalisateur de la saga Eiji Aonuma s'est présenté à nous en vidéo pour annoncer Hyrule Warriors : L'Ère du Fléau, dont les premiers visuels et la jaquette s'offrent à vous dans notre galerie d'images.

Pour occuper le terrain en ces temps de next-gen teasée (ou pas), Nintendo s'est à nouveau offert les services de Koei Tecmo, qui offrira avec ce second Musō estampillé The Legend of Zelda une préquelle, située 100 ans avant l'aventure de 2017, histoire de creuser le lore d'une série qui ne manquait pourtant pas de profondeur. Le Roi d'Hyrule a semble-t-il bien des secrets à dévoiler à noter duo de héros blondinets, qui se trouveront une nouvelle fois aux côtés des Prodiges Daruk, Mipha, Urbosa & Co. pour combattre des ennemis par centaine, Musō oblige.

Le producteur du jeu Yosuke Hayashi (déjà aux manettes de Nioh 2 ou Persona 5 Scramble ces derniers mois) explique la démarche qui a conduit l'équipe à rempiler :

L'Ère du Fléau a commencé quand Eiji Aonuma nous a approchés en disant : « Je pense qu'il serait intéressant de créer un jeu Warriors qui raconterait l'histoire du Grand Fléau. Les batailles entre le royaume d'Hyrule et le Fléau Ganon conviendraient bien au gameplay de la série avec ses grandes armées. »

S'inscrivant directement dans la narration de la saga principale, cet épisode aura ainsi été encore plus étroitement développé en partenariat avec Nintendo, histoire de respecter l'univers de Breath of the Wild. Après s'être notamment adjoint les services de Monolith Software en 2017, le constructeur continue ainsi de faire bouger les lignes, et de laisser à d'autres le soin de raconter quelques pages de ses plus illustres licences.

Mettez à jour vos calendriers : Hyrule Warriors : L'Ère du Fléau est déjà annoncé pour le 20 novembre 2020, oui mais sur Switch. Les joueurs qui auraient envie de pré-commander leur jeu plein pot sur l'eShop pourront même fièrement repartir avec... une louche. Mais pas n'importe laquelle hein : la louche du bonheur.