Dans une interview accordée à IGN Japon, Atsushi Inaba parle avec le coeur. Le coeur d'un homme qui voudrait que le premier pas dans l'auto-édition ne soit pas le dernier et que indépendance rêvée depuis l'ouverture du studio devienne une réalité.

Parmi les licences qu'il aimerait pouvoir publier sans aucune aide, il y a Bayonetta.

Je pense que Bayonetta est très important pour PlatinumGames et, si je peux parler honnêtement, j'aimerais avoir cette opportunité s'il y avait la moindre chance. Dans le cas où cela arriverait, il faudrait aussi plus de fonds via le crowdfunding en comparaison de celui de The Wonderful 101 et savoir si nous serions capables. Mais si vous demandez si nous souhaitons le faire, bien sûr que nous le voulons.

Sauf que, il ne manque pas de le rappeler, les droits de la sorcière à lunettes qui botte des culs d'anges à la chaîne appartiennent à Sega et Nintendo. Et nous, qu'on attend déjà de voir Bayonetta 3, attendu sur Nintendo Switch à une date inconnue.