Là où les Pays-Bas et la Belgique ont déjà dégainé et fait plier quelques acteurs de l'industrie, nos cousins outre-Manche sont en pleine enquête concernant les addictions au jeu vidéo et les problèmes éventuels de la pratique des loot boxes, qui peuvent être considérés comme des jeux d'argent.

Pour Kerry Hopkins, vice-présidente des affaires juridiques d'Electronic Arts invitée à s'exprimer devant une Commission parlementaire britannique chargée du numérique, de la culture,des médias et des sports, ce que propose l'éditeur à travers ses micro-transactions n'est pas à considérer comme des loot boxes.

Si vous allez dans un magasin qui vend de nombreux jouets et que vous cherchez un jouet surprise, vous trouverez que c'est quelque chose que beaucoup de monde aime. On trouve ça dans l'industrie du jouet depuis des années, que l'on parle de Kinder Surprise, des peluches Hatchimals ou des poupées LOL Surprise.

Elle ajoute que la façon dont sont implémentées ces mécaniques, notamment dans FIFA via FUT, est éthique, amusante et plaît aux gens. À tel point qu'il est devenu presque coutumier dans la communication des jeux en développement de préciser qu'il n'y a pas de transactions aléatoires.

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