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Selon nos confrères de Venturebeat, le tribunal a statué en faveur du compositeur. La décision a été rendue le 4 septembre, soit vendredi dernier. Que gagne-t-il concrètement ? Un beau petit pactole tout de même. Ce dernier à le choix de récupérer 192,188 actions de Bungie ou bien une partie des actions en cash (en argent comptant, si vous préférez).

Le montant que cela représente n'étant pas spécifié. De surcroît, ce dernier aura droit à la coquette somme de 142.500 $ dans le cadre du partage des bénéfices mentionné dans son contrat avant son licenciement. 

Comme l'indiquent nos confrères, ce n'est pas la première fois que O'Donnell saisit la justice pour faire valoir ses droits. En effet ce dernier a récemment accepté une offre de 95.000 $ pour mettre fin au procès qu'il avait intenté contre Harold Ryan, président de Bungie, et qui concernait (déjà) des prestations non-versées. 

Un précédent avait déjà eu lieu

Les contours concernant la friction entre les deux entités ont été clarifiés. L'artiste aurait été déçu par la société américaine. En effet, celui-ci avait composé une mélodie pour le trailer de l'E3 2013, qui a finalement été remplacée au dernier moment par Activision.

Cela a irrité O'Donnell au point d'entrer en conflit contre ses supérieurs afin de préserver le processus créatif et l'intégrité artistique de Bungie. Cela n'a pas été du goût d'Activision, qui a préféré congédier son compositeur en lui proposant de mettre un terme à son contrat.

Mais désormais, c'est une page qui se tourne, le compositeur a maintenant les yeux rivés vers son studio indépendant nommé Highwire Games qu'il a co-fondé aux côtés de Jaime Griesemer et Jared Noftle, également des anciens de Bungie.