Peter Vesterbacka s'occupe du développement des affaires (du business), chez Rovio, la société à qui l'on doit le très populaire Angry Birds.

Ce n'est pas moins de cent millions de fois que le jeu aurait été téléchargé sur smartphones, si l'on en croit Rovio. Le titre a ensuite été porté sur console, sur PS3 et devrait également arriver sur 3DS (NDTraz : ben voyons...).

Mais à écouter Vesterbacka, les jeux console seraient "en train de mourir".

L'innovation dans le jeu est désormais clairement du côté du mobile et du jeu social.

Vesterbacka perçoit en effet le genre de sociétés qui développent ce type de jeux comme plus flexibles, plus "agiles", pouvant plus facilement réaliser et proposer un nouveau contenu.

A mesure que le jeu mobile progressera, le jeu console mourra.

L'argument du prix est évidemment mis en avant par Vesterbacka, un jeu ne coûtant que quelques centimes possédant un atout majeur face à des titres aux alentours de 70 $.

Mais à petit prix de vente et donc de développement, l'expérience de jeu ne serait-elle pas seulement anecdotique, casual ?

En tout cas, "casual" est un terme dont Peter Vesterbacka dit être lassé, arguant que l'on ne parle pas de "fims casual" et qu'un joueur d'Angry Bird peut-être aussi impliqué et accro que sur un jeu dit "hardcore".

Place au débat !

-Via-