Thief : Dark Project
Genre :
Cambriolage de Gauche
Editeur : Eidos Interactive
Année
de sortie : 1998
Support : PC
Thief est un documentaire vidéoludique qui traite des péripéties sycophantes du premier socialiste apparu sur Terre durant le Moyen-Age. Dans la peau de Garrett, le joueur partira à la découverte des origines du socialisme en détroussant des bourgeois à la chaine, dans des demeures à la décoration damidienne assez mal éclairées. C'est en situation d'expériences pragmatiques que tous les mythes liés aux concepts du socialisme nous seront livrés et ce, sans complexe, sans langue de bois. Le soft d'Eidos Interactive n'hésitera pas à décortiquer le noyau de cette tendance politique au rabais en nous fournissant moult données précieuses qui nous aideront à mieux comprendre rétrospectivement les nombreuses pratiques frauduleuses de ce vieux pingouin de François Mitterrand, lorsqu'il était notre président tout pourri.
Sans le savoir, en cambriolant divers lofts médiévaux, Garrett a érigé les grands principes fondamentaux du socialisme. Il est de notoriété publique que le Gaucho ne frappe ses proies que par derrière, tel un gros traitre silencieux. Et c'est d'ailleurs ce que le joueur expérimentera tout au long du jeu. On retrouvera cette tendance à n'assassiner ses adversaires que dans leurs dos avec la grande polémique de Georges Frêche, qui je vous le rappelle, a été victime d'un règlement de compte orchestré par des hauts responsables de son propre parti, qui ont bien pris soin de le pourrir par derrière. De plus, Garrett est un gros fourbe qui jubile de se tapir dans l'obscurité avant de sortir de la pénombre au moment opportun pour poignarder sa pauvre victime tel un lâche. Cette pratique super déloyale est d'ailleurs à l'origine du Noir et le Rouge (symbolisant l'ombre puis le sang versé), les couleurs préférées de ce vieil escroc de François Mitterrand mais aussi le titre de sa biographie écrite par Catherine Nay, qui raconte comment il a entubé le peuple en tapant allègrement dans les caisses de l'État. Thief accentuera fortement cet aspect très connu et fondateur du mythe de la Gauche-caviarde-réac' dénonçant les inégalités salariales et sociales du prolétariat, mais n'hésitant pas à gruger la thune du contribuable lambda pour s'enrichir et se faire des roses en or. Bref, Thief : Dark Project met en exergue plusieurs siècles de pratiques véreuses de la part des Gauchos qui nous ont valu 3 septennats de Droite bien reulous en guise de contre-réaction. Enfin je crois.
Si elle le pouvait, Martine Aubry éliminerait bien Georges Frêche d'un gros coup de gourdin bien senti dans le dos.