Comme initialement annoncé, la campagne principale sera divisée en trois parties (Italie, Egypte et enfin Europe), pour se conclure par une sorte de "boss de fin de niveau", à savoir la mythique bataille de Waterloo, durant laquelle vous pourrez tenter de changer le cours de l'Histoire, rien que ça.

Le raffinement Napoléonien

Côté nouveautés, on pourra désormais choisir de piller une ville conquise (plutôt que d'opter pour une occupation) et il sera possible d'y construire des "points d'approvisionnement" pour faciliter le ravitaillement. De quoi s'assurer d'avoir des armées motivées, objectif d'autant plus délicat que la météo aura désormais un impact direct sur l'issue des combats. L'IA a également été complètement revue et fonctionnera sous l'égide d'un régisseur qui se chargera d'évaluer ses meilleures options en cas d'échec, plutôt que de s'imposer un changement radical de tactique, pas toujours très heureux.

Ajoutez à cela quelques améliorations esthétiques et ergonomiques, comme la présence d'une seconde caméra (qui vous renseignera sur les événements majeurs en cours sur le champ de bataille), des animations explicites (comme des chevaux qui s'emballent quand ils flippent) ou encore l'apparition d'icônes sur chacun des bataillons, permettant d'avoir une vue plus claire des troupes en présence... et vous aurez compris que la série ne devrait pas s'endormir complètement sur ses lauriers pour ce nouvel épisode.

Rendez-vous est pris

Quand ils nous annonçaient il y a quelques mois que ce Napoleon : Total War serait une sorte de best of de la série, agrémenté de nombreuses améliorations, ils ne mentaient pas. Reste maintenant à pouvoir juger sur pièce, souris en main, ce qui ne devrait a priori plus trop tarder. En attendant, je vais me ré-écouter "Petit Bonhomme" en boucle.