Chez Zallag, on aime tous les types de jeu, qu'ils parlent de princesses ou de mini monstres combattant sous les ordres d'un adolescent à casquette. C'est encore à moi, Julien, de vous présenter un coup de cœur de mon enfance pas si lointaine. Prenez place et n'oubliez pas le guide...

Il était une fois un petit dragon violet...

Spyro le dragon fait partie de ces licences qu'on adorait étant jeunes et qui nous laissent de marbre aujourd'hui. Pourtant, ce petit dragon violet n'augurait que du bon lors de sa première apparition en 1998. Développé par Insomniac Games (Ratchet & Clank, Resistance), Spyro fait partie de ces jeux qui ont bercé notre jeunesse et qui hantent encore notre imaginaire. Malgré un scénario peu original, le jeu et notamment le héros font de ce soft un titre très attachant. Encore aujourd'hui il fait partie des rares jeux PlayStation que j'ose réinsérer dans la console.

 

 

Petit dragon deviendra grand

L'histoire de Spyro le dragon se veut simple et marrante, on s'en rend compte d'ailleurs très vite lors de la première cinématique. Gnasty Gnorc a décidé de transformer tous les dragons du royaume en statues de cristal, seul Spyro sortira indemne de son vil dessein en raison de sa petite taille. Propulsé sauveur de dragons votre mission sera de libérer vos congénères de l'emprise maléfique de Gnasty Gnorc.  Au fil de votre aventure vous traverserez l'ensemble du royaume soit un total de six mondes aux univers graphiques variés et à la difficulté croissante. 

L'objectif principal du jeu est de libérer les dragons emprisonnés par votre ennemi. L'avantage de ce jeu est que de nombreuses quêtes annexes de collecte sont disponible et permettent ainsi de prolonger la durée de vie du soft. Le joueur pourra ainsi accumuler à sa guise joyaux, œufs mais également partir à la chasse aux sbires de Gnasty.

L'exploration du royaume des dragons vous portera à travers six mondes différents ayant chacun un type de dragons (Les artisans, les pacifiques, les tisseurs de rêve...). L'aventure se déroule de manière assez logique et est assez fluide même si par moment on se retrouve un peu perdu et on ne sait plus quel portail utiliser.
Ce soir, on vous met le feu
Comme tout bon dragon qui se respecte vous pouvez cracher du feu sur vos ennemis mais également les charger. C'est d'ailleurs ce dernier point qui me fait tant apprécier ce soft. Je dois avouer avoir passé des heures à tenter d'attraper moutons, grenouilles et autres bestioles en tout genre. L'impression de vitesse et de puissance (mouah ah ah) quand Spyro charge ces petites bêtes sans défense font pour moi tout le charme de ce jeu. 
Outre ces accès de violences Spyro est aussi capable de sauter et planer dans des phases de plateformes dont la difficulté va crescendo. Un des points noirs de ce jeu réside d'ailleurs précisément dans ces phases de jeu. Le déplacement du héros étant assez rigide il est fréquent de louper sa réception pour une erreur de quelques secondes. Cependant ces erreurs n'étant que très rarement fatales le jeu n'est pas pénalisé plus que ça.
Vous l'aurez compris l'attrait principal de ce jeu réside donc dans son gameplay nerveux mais également par son humour omniprésent tout du long de l'aventure. Les animations variées font des ennemis de Spyro des personnages hauts en couleur et les rendent tous plus ahuris les uns que les autres. 
Vous êtes licencié mon cher Spyro
Malheureusement, comme bon nombre de licences prometteuses, le malheureux Spyro a été victime de suites décevantes, ceci étant aidé par le départ des développeurs d'origine. La qualité des opus suivants allant decrescendo et la décision peu judicieuse de faire vieillir Spyro ont causé la baisse de qualité de cette licence. On a d'ailleurs échappé de justesse à un film Spyro The dragon, c'est pour dire. 

https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=145476.html

 

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La Zallag Team