source : wikipedia

Numéro 11 : Mélodie cocktail

 

Mélodie Cocktail ou Le Temps d'une mélodie au Québec (Melody Time) est le 13e long-métrage d'animation et le 10e « Classique d'animation » des studios Disney. Sorti en 1948, il s'agit d'une anthologie de sept courts métrages, réalisés par Clyde Geronimi, Wilfred Jackson, Jack Kinney et Hamilton Luske dans la lignée de Fantasia (1940) et de La Boîte à musique (1946), mais incluant des prises de vues réelles.

Les sept séquences, assez disparates, reprennent des traits caractéristiques des précédentes productions de Disney. Ainsi, on retrouve deux séquences sur le folklore américain, une séquence d'animation surréaliste, une autre dans un monde d'objets anthropomorphes et d'autres mêlant animation et acteurs en prise de vue réelle. Plusieurs auteurs notent que le film, malgré un certain niveau technique et quelques éléments agréables, manque d'unité. D'après ces mêmes critiques, le film conforte le public dans son attente d'un retour aux standards de Disney, les longs métrages d'un seul tenant.

Encore une fois, pour moi inconnu au bataillon et l'édition en blu-ray n'est pas à l'ordre du jour trouvable en dvd de 3 à 10 euros.

 

Numéro 12 : Danny le petit mouton noir

 

Danny, le petit mouton noir (titre original : So Dear to My Heart), est le 14e long-métrage d'animation des studios Disney réalisé par Harold D. Schuster et Hamilton Luske. Sorti en 1948 et mêlant animation et prises de vues réelles comme Mélodie du Sud (1946), il est adapté du livre Midnight and Jeremiah de Sterling North publié en 1943.

Le film possède une histoire assez simple basée sur la nostalgie du début du XXe siècle, mettant en vedette un jeune garçon prénommé Jeremiah qui cherche à démontrer qu'un mouton noir est un véritable champion de concours. Malgré d'intéressants points techniques, tant du côté animation que cinématographique, le film reste peu connu. Son principal intérêt réside dans le fait qu'après Mélodie du Sud, il confirme la diversification des studios Disney dans le cinéma en prises de vues réelles.

J'aime Disney mais pour moi c'est d'un autre temps. Donc je ne l'ai jamais possédé. Trouvable en DVD pour moins de 10 euros mais peu d'annonce début 2016

 

numéro 13 : Le crapaud et le maître d'école.

 

 

Le Crapaud et le Maître d'école – ou Contes d'automne et de printemps au Québec – (The Adventures of Ichabod and Mr. Toad) est un film d'animation américain, réalisé par Clyde Geronimi, James Algar et Jack Kinney, sorti en 1949, aux États-Unis.

 

Il s'agit du 15e long métrage d'animation produit par les studios Disney et le 11e « Classique d'animation ». Il est composé de deux moyens-métrages : La Mare aux grenouilles et La Légende de la Vallée endormie (Le Fantôme du cavalier au Québec), inspirés respectivement des romans Le Vent dans les saules de Kenneth Grahame (1908) et La Légende de Sleepy Hollow de Washington Irving (1819).

 

Le film présente les histoires de deux personnages fabuleux de la littérature anglo-saxonne. Le film est surtout connu comme étant la dernière des compilations du studio Disney produites durant les années 1940 avant la sortie en 1950 de Cendrillon. Malgré son manque de reconnaissance, la première séquence de ce film sert de base à une attraction d'un parc Disney et plusieurs des personnages ont été réutilisés dans d'autres productions.

 

Toujours inconnu au bataillon pour moi. Et vous, le connassiez vous ce Disney ? Dispobible en DVD uniquement. Trouvable entre 5 à 15 euros.

 

Numéro 14 : Cendrillon

Cendrillon (Cinderella) est le 16e long-métrage d'animation et le 12e « Classique d'animation » des studios Disney. Sorti en 1950, il s'inspire de la version du conte de Charles Perrault, Cendrillon ou la Petite Pantoufle de verre paru en 1697, ainsi que de celle des frères Grimm, Aschenputtel (en), publiée en 1812.

 

Ce film marque le retour très attendu du studio Disney dans la production de longs métrages d'animation originaux après huit années de films-compilations. Il fait aussi entrer l'entreprise Disney dans une nouvelle période faste, avec une diversification des productions, pour la plupart initiées ou ayant leurs racines à la fin des années 1940.

Cendrillon partage de nombreux éléments avec Blanche-Neige et les Sept Nains, le premier long métrage du studio Disney sorti en 1937 et sont presque similaires : au niveau scénaristique, au niveau graphique, la personnalité et l'aspect des héroïnes, l'atmosphère, l'époque des événements et les éléments qui en font des contes de fées. Les deux films sont aussi des entreprises risquées pour le studio : Blanche-Neige parce qu'il était le premier long métrage, et Cendrillon parce qu'il devait renflouer le studio, qui était alors dans une position financière difficile. Heureusement pour la suite, les deux films ont été des succès tant commerciaux qu'artistiques, même si en comparaison des productions du début des années 1940 (Pinocchio, Bambi, Dumbo), Cendrillon est pour de nombreux critiques de qualité légèrement inférieure. On peut y voir à la fois les conséquences des années précédentes, difficiles pour le studio, mais aussi un certain désengagement de Walt Disney pour ce type de film

 

Ah enfin un disney qui parle à tout le monde avec sa chanson légendaire. A vrai dire, j'aimais beaucoup cette façon de faire, très peu de chanson, des thèmes graves et sérieux....la belle mère restera toujours dans ma mémoire. Les petites souris également. Bref c'était le début de la grande époque Disney et de délicieux souvenir. Même si l'image de la femme en prend un coup mais bon c'est l'adaptation d'un roman où les moeurs décrits étaient la norme.

Trouvable en cette entre 5 et 15 euros.

 

Numéro 15 : Alice au pays des merveilles.

Alice au pays des merveilles (Alice in Wonderland), est le 17e long-métrage d'animation et le 13e « Classique d'animation » des studios Disney. Sorti en 1951, ce film est l'adaptation du roman de Lewis Carroll, Les Aventures d'Alice au pays des merveilles (Alice's Adventures in Wonderland, 1865) et de sa suite, De l'autre côté du miroir (Through the Looking Glass, 1871).

 

L'œuvre de Lewis Carroll possède un long parcours au sein des studios Disney : c'est avec la série Alice Comedies, une adaptation très libre du livre mêlant animation et prises de vues réelles, que Walt Disney commence sa carrière à Hollywood en 1923. Par la suite, plusieurs projets reprennent le concept ou l'histoire d’Alice. À la fin des années 1930, avec le succès de Blanche-Neige et les Sept Nains, Disney décide d'en tirer un long métrage. Il pense d'abord reprendre le principe animation/prises de vues réelles avec Mary Pickford mais la Seconde Guerre mondiale force les studios à repousser le projet. Celui-ci est relancé au milieu des années 1940, avec le succès de Mélodie du Sud (1946) mais les problèmes liés à l'adaptation de l'œuvre de Carroll incitent Disney à se tourner vers l'animation pure.

À sa sortie, le film n'attire pas le public escompté qui, soutenu par la presse, critique les libertés prises avec l'œuvre originale. Au sein du studio, les créateurs du film, dont Walt Disney, estiment également que le film ne répond pas à leurs attentes. Par la suite, le film trouve le succès auprès d'une partie des étudiants des années 1960, ceux de la mouvance hippie. Malgré ses nombreux problèmes, le film gagne avec le temps son statut de « classique ».

 

Ah....Alice.....TRAUMATISANT ce film. Une chenille qui fume, un chat qui te fout des cauchemars, une course poursuite façon résident evil. Mais oui c'est bon pour les enfants !! A ne pas mettre mettre entre toutes les mains d'enfants ! Trouvable entre 7 et 15 euros.