Hasard heureux du calendrier, la nouvelle console de salon de Nintendo sort maintenant dans quelques jours (Le 30 Novembre pour les derniers joueurs de France qui ne seraient pas encore au courant), c'est donc le moment idéal pour republier sur le blog  EN INTEGRALITE CETTE FOIS ce dossier sur la polémique console de salon de Nintendo, la Wii première du nom, qui voit sa carrière s'achever par ce passage de flambeau.
Retour d'un joueur sur un succès commercial et marketing indiscutable, mais qui divise résolument les joueurs   jusqu'au sein même de notre équipe (je te le dédicace celui-là Pierre!). 
 

 

     Ah la Wii ! Une machine que j'ai adoré détester depuis sa sortie !

Et pourtant n'allez pas croire je me contente de cracher sur les entreprises ou les produits qui ont la côte. Pour être honnête, avant la sortie de la machine fin 2006, j'étais un de ses promoteurs auprès de mes amis, (ayant eu de plus la chance de l'essayer un peu avant tout le monde au salon Micromania parisien cet automne là), et me faisais le chantre d'une manière de jouer nouvelle, même si la machine reste moins puissante que ses deux concurrentes.

     Mais j'ai très vite changé de discours après la sortie de la "bête", écœuré  par une liste de jeux de lancement aussi épaisse et fascinante qu'un programme électoral de notre époque, portée seulement par un Zelda : Twilight Princess véritablement scandaleusement volé à sa grande sœur la Gamecube. Et vous parlez d'un jeu fer de lance pour cette nouvelle génération, quand  ce rapt ne s'accompagnait que de l'ajout de quelques fonctionnalités à reconnaissance de mouvements, dont la plus indispensable était le ciblage au pointeur de la wiimote pour l'arc de Link, ainsi qu'une inversion de l'image destinée à rendre notre elfe "vestimentairement" supporter de l'A.S. St Etienne gaucher. Et là les plus solides fans de la Gamecube, les ders. de der. dont je fais partie, qui attendaient ce Zelda comme le messie de leur cube de jeu, pouvaient enfin aller se pendre en paix après avoir laissé un grand MERCI sur les forums de Nintendo  et autres jeux-video.com, suite à un report de plus d'un an pour ces raisons fallacieuses. Surtout lorsqu'on sait que finalement la version Gamecube est bien sortie (merci tout de même) mais dans des quantités si limitées qu'elle était un mois après déjà introuvable, et reste d'ailleurs encore aujourd'hui l'un des jeux les plus coûteux de la ludothèque Gamecube en occasion...

 Bref, de mon point de vue, ça commençait bien mal entre moi et la Wii ! Et ce ne sont pas les parties quasi obligatoires de wii sport chez les premiers chanceux qui parvenaient à s'équiper malgré les ruptures de stock, qui me réconciliaient avec ce genre de fille manipulatrice...

     En fait, la critique majeur qui m'a le plus irrité à son encontre, et qui ne me quittera jamais je pense (alors que finalement j'ai fini par craquer dernièrement moi aussi !), c'est que cette console, au delà de son relooking extrême, n'en reste pas moins une Gamecube boostée et recarénée vendue un peu plus cher cette fois ci ! Et toujours pas de rendu visuel en Haute Définition (un manque qui s'avère d'autant plus  effarant aujourd'hui en 2012, que lors de la sortie de la console, fin  2006, puisque  la majeure partie des foyers n'était pas encore équipée d'écrans plats adéquats comme maintenant). Commercialement parlant néanmoins, Nintendo a fait très, très fort, et se lave par la même occasion de l'échec incompréhensible de sa pourtant très réussie Gamecube. Néanmoins de notre côté du miroir, cela ressemble surtout à un enfumage (très, très fort lui aussi remarquez !).Car l'irréductible fan de Nintendo aura finalement payé deux fois une technologie quasiment identique. Même si il faut reconnaître que la ludothèque de la petite nouvelle sera axée très différemment cette fois, et pas toujours/souvent (rayez la mention la moins appropriée) pour le mieux.

Vous ne vous souvenez pas de premiers jeux tels que Wario Ware Smooth Moves, Elebits (de Konami), du premier jeu de courses: Excite Trucks, l'expérimental Wii Music, ou encore d'un Call of Duty : En marche vers Paris?

Wario Ware Smooth moves: une licence déjantéee et fun qui était faite pour le Motion Gaming! ... Mais un jeu apéritif quand même.

Wii Music... Un condensé du "meilleur" de la Wii qui fait peur aux joueurs. Ou avec humilité on comprend que S. Miyamoto peut aussi se tromper!

...C'est normal !! Ils font partie d'un échantillon d'exemples de jeux "popcorn",  ou défigurés par  des tentatives de contrôle "über" révolutionnaires à la télécommande (wiimote), car remplis de combinaisons de touches trop "marrantes" et vraiment pas intuitives. Cela vous rappellera un peu le jeu de société  Twister de notre enfance. Sauf que là ce ne sont pas vos amis qui s'enchevêtrent pour gagner, mais tous vos doigts, nez, orteils et éventuellement ceux du/des spectateurs venus en renfort. Le triomphe du nouveau gameplay donc.

Ahhhh, ces nouveaux contrôles aux mouvements: une ergonomie naturelle dont on avait toujours tous secrètement rêvé!

 

Hormis le Zelda du lancement, qui reste un très bon jeu malgré son manque d'apparats spécialement crées pour la Wii, il aura fallu attendre un petit moment le réveil de la console du Big N. pour nous les joueurs  de toujours.

     Souvenez vous : Metroïd Prime 3 : Corruption , le premier jeu et FPS (Firs Person Adventure plutôt d'après Nintendo...) à faire de la maniabilité Wiimote une vraie expérience immersive. Puis Super Paper Mario (mi RPG, mi plateforme, mais dans un syle visuel inédit : tout en magnifiques aplats 2D, un effet qui sert aussi le gameplay du jeu !). Et aussi quelques jeu tiers comme les  Resident Evil 4 Wii édition (les graphismes de la sublime version gamecube avec les  4 chapitres inédits de Ada Wong de la version playstation 2. Le meilleur des 2 mondes, quoi ! Avec en sus une visée au pointeur de la wimote!), et Prince Of Persia 3 : Rival Swords (simple adaptation à la maniabilité Wii du néanmoins excellent  volet final de la trilogie des Sables du temps.

     

 

     Le très original SUPER PAPER MARIO...

     Mais ça ce n'était encore que l'échauffement, et si la console souffre de la même maladie que les précédentes consoles de salon de Nintendo depuis la N64, à savoir le manque de soutien constant et de qualité des éditeurs tiers, le constructeur a su cette fois ci nous abreuver  assez régulièrement de hits comme il sait si bien les faire ! A commencer par le tonitruant  Smash Bros Brawl (LE jeu de combats en arène  le plus fun et le plus multi-joueurs existant, inaugurant de plus ici le service de jeu en ligne de la console !), Mario Kart Wii (toujours aussi convivial en multi-joueurs, blindé de nouveaux circuits, et lui aussi jouable en ligne ! Mais certainement le plus overhypé selon moi, rendu plus aléatoire que jamais par la prolifération abusive de carapaces bleues à chaque course. C'est vrai quoi, ça en deviendrait même une arme banale comme les vertes ou les rouges : le dealer  d'items du royaume champignon leur a fait une ristourne au kilo ou bien ?), et Mario Galaxy aussi...(Juste la révolution des Mario 3D : hyper jouable, extraordinairement varié et inventif tout au long du jeu, vous tomberez sans cesse de toujours plus haut !).

 

     Bon alors là, la console commençait à acquérir ses lettres de noblesses, et surtout à se forger une réelle identité de remplaçante. Et ça croyez moi, c'était la condition sine qua none pour voir revenir à elle les joueurs traditionnels. Et pourtant, à côté de ça, elle parvenait tout de même à cultiver sa masse de fans de la première heure : les nouveaux joueurs, les joueurs occasionnels et le grand public, comme maman et mamie Simone (pour lesquelles l'addiction de leurs rejetons à ces jeux video avaient toujours été un mystère !). Avec notamment les Wii Sports Resort (une compilation plus complète de jeux de sports exploitant la reconnaissance de mouvements, suffisamment soignée et enrobée pour se montrer addictive à moyen terme... et c'est pourtant un réfractaire qui vous le dit !), un nouvel épisode d'Animal Crossing : "Let's go to the city" (le simulateur charmant de vie sociale avec des concitoyens animaux humanoïdes... mais qu'avaient donc fumé les disciples  du grand Shigeru Miyamoto lors de la conception de ce jeu ???), les Mario Party et autres Lapins Crétins (une série de jeux funs en famille et débiles usée jusqu'à la corde, mais qui aura rendu célèbre une mascotte attachante, même si décérébrée. Oui c'est possible, nous en connaissons tous des cas comme ça, héhé). Et j'en oublie certainement un paquet, entre les jeux pour enfants, les adaptations de dessins animés, et les  mangas divers s'adressant généralement à un public jeune (ou adolescent).

     

A partir de ce moment (fin 2007 environ), comme je le disais, la  console blanche (ou noire d'ailleurs ensuite, puis rouge en édition anniversaire de Mario, ou bleue  claire dernièrement...Bref !!)  nous a fréquemment alimentés de hits en puissance, avec une nette accélération ces dernières années : New Super Mario Bros (l'épisode 2D avec des personnages en 3D et du relief dans les décors qui concentre toutes les bonnes trouvailles des épisodes de la bonne époque  des jeux plate-forme ! Et un bordélique mais supra convivial multi-joueurs à 4 simultanément. Juste un détail... qui casse la routine en lui piétinant la gueule allégrement quoi !), Mario Galaxy 2 (ok le concept est le même que précédemment...mais bon maintenant y'a un Yoshi quoi ! Non, pas seulement rassurez vous. En fait ils ont rajouté toutes les idées de gameplay et de niveaux qui n'avaient pas pu être inclus dans le premier. Et il y'en a juste des tonnes). D'ailleurs, en parlant de Mario, son éternel rival Sonic le hérisson, qui ne voulait plus être en reste en matière de succès, a eu le bonne idée de revenir après deux premiers jeux qualitativement moyens sur cette machine, avec l'épisode SONIC COLOURS. Surprise, la persévérance du hérisson le plus rapide de l'Ouest a cette fois-ci payé, puisqu'il s'avère encore aujourd'hui l'épisode 3D le plus réussi, depuis les vieillissants Sonic Adventure 1et 2 sur Dreamcast (puis Gamecube et PC), se payant même le luxe de moins de soucis de caméra ! Du tout bon donc.

On continue avec Kirby : Au fil de l'aventure (qui malgré son nom bof, est un soft de plate-forme  assez facile d'accès, mais au rendu visuel extraordinaire qui prouve que la 2Dpeut être sublimée par les consoles actuelles et à venir !),  Donkey Kong Country Returns (tout est dit : les développeurs de Retro Studio ont su retrouver la saveur incroyable du jeu de plateforme original et ses musiques enivrantes, mais y ont ajouté une inventivité incroyable dans la conception des niveaux. C'est bien simple, malgré le thème graphique  commun à tous les niveaux d'un monde, vous ne verrez ni ferez jamais la même chose. Il est génial dans son intégralité, mais juste un peu exigeant, plus encore que les épisodes de la bonne époque).

Et puisque nous sommes dans les merveilles en 2D, comment ne pas citer MURAMASA, un titre exclusif à la Wii doublé d'une licence originale (déjà deux prouesses en une phrase, il s'agit vraiment d'un titre prometteur!) et doté de graphismes sublimes respirant pourtant l'artisanal et le perfectionnisme. Le tout sans besoin de "Haute dèf"! Sorti fin 2009 dans nos contrées, sans le battage d'un jeu Triple A, comme on dit aujourd'hui, il en aura marqué pourtant nombre d'entre vous! Et à juste titre: encore une petite perle qui rafraîchit nos ludothèques actuelles, à essayer absolument!

 

     On souffle et on se remet en route  avec Metroid Other M (un épisode qui a divisé : plus proche des épisodes traditionnels de la saga dans sa représentation visuelle, mais toujours en 3D. Il garde quelques  apports historiques des Metroid Prime  tout en innovant également : notamment dans son parcours, plus linéaire et richement scénarisé, et une jouabilité simplifiée exploitant régulièrement le pointeur), ainsi qu'un étonnant Epic Mickey (du genre plateforme aventure), qui place la souris de Disney dans un monde punk et quelquefois glauques, avec un gameplay usant judicieusement du pointeur, mais un peu plombé par ses défauts de caméra.

Du combat au corps à corps dans un Metroid! Il fallait bien la touche perso. de la Team Ninja derrière les Dead Or Alivepour que lon voie ça un jour!


Mickey dans un univers malsain et mâture ainsi qu'un gameplay encore jamais vu auparavant...C'est ça Epic Mickey.

Et dernièrement les hits de fin d'année 2011 : Kirby 's adventure (un épisode de Kirby plus conventionnel, avec une progression en deux dimensions mais des personnages et décors exploitant des formes 3D, comme pour les New Mario Bros. Et surtout la possibilité de jouer également à quatre simultanément, modifiant carrément la manière de progresser... ainsi probablement que vos rapports avec vos futurs ex-amis !)

Et  Zelda Skyward sword, l'épisode qui exploite enfin pleinement les capacités de reconnaissance de mouvement de la wii... et nécessite pour cela obligatoirement cette fois l'ajout du "Wii motion Plus" ! Pour rappel, cette petite extension de la wiimote, développée par un  laboratoire tiers, comme feu le ram pack de la N64 qui ouvrait  lui aussi tout un nouveau monde de possibilités à cette console, et qui apporte dans le cas présent une reconnaissance des mouvements plus complexe (comme l'amplitude des gestes, leur sens et l'inclinaison de la manette). Des moyens conséquents, un développement de longue haleine cette fois encore, pour un volet de notre elfe verdâtre à la durée de vie conséquente... mais qui divise une fois encore ! (Hé bien, c'est une habitude désormais envers les séries cultes de Nintendo ?) Mais cette fois principalement à cause de son esthétique style estampes pastelles, ainsi que certains de ses mécanismes de progression, jugés redondants ou pénibles.

 

     Et là je dois dire que c'est en faisant le compte du nombres de hits existant sur la machine que j'ai moi même fini par craquer pour cette console en Décembre 2010, achevé par la sortie du fameux DKC RETURNS, une série  qui a bouleversé mon enfance et restera à jamais gravée dans mon cœur, pas moins. Mais ce qui est fort avec cette machine, c'est qu'elle préfigure d'un nouveau concept : c'est la première console que j'achète à contrecœur ! En effet, si je n'ai plus honte d'admettre qu'elle a finalement une ludothèque démentielle et que nombre des jeux précités sont parmi les meilleurs jamais crées par Big N (oui messieurs dames, ça me fait pourtant mal aux fesses de l'écrire ici, ne serait ce que par ma fidélité à la merveilleuse Gamecube, mais je m'y résouds honnêtement), hé bien il reste que je n'aime pas cette machine en elle même.

Vraiment paradoxal hein ??

Triste machine à rêve qui malgré tous ses efforts ne parvient pas à me faire digérer sa filiation scandaleuse.

Et pour parachever cette troublante perception, je dois vous avouer pour conclure cet article sur le panorama de la bête blanche, qu'après de longs mois d'observation et d'utilisation en condition de possession réelle, que Nintendo l'a selon moi nantie d'intelligents atouts dans sa conception .

     D'abord son aspect : plus élégante et mature dans son design, s'intégrant mieux au cœur d'un salon High-tech que ses devancières aux formes improbables et couleurs spatiales, Nintendo aurait elle pris des leçons de "désirabilité" du produit chez la marque  la plus en vogue ces dernières années, j'ai nommé Apple ? Et cela jusque dans le choix de la couleur phare de la console, le blanc nacré, robe qu'on retrouvait sur tous les ordinateurs et gadgets de la marque informatique  au début des années 2000 ?

La petite taille de la console  a fait beaucoup parler d'elle aussi, et cumulé à sa faible consommation électrique, voilà des arguments qui ont dû faire exploser sa popularité dans les foyers, notamment ceux japonais, qui accordent énormément d'importance à l'encombrement des équipements de leur intérieur.

 

     En l'observant sous toutes les coutures le jour du grand déballage de Noël, ce qui m'a séduit personnellement c'est la présence des quatre ports manettes Gamecube, et des deux ports cartes mémoires de cette console, annonciateurs d'une parfaite rétrocompatibilité de la fille ingrate avec sa mère ! Spéciale dédicace au lecteur slot in de la console, qui est le premier  mange disque que je vois qui accepte les DVD de taille mini, un détail qui me fait applaudir la Recherche et Développement de Nintendo, je ne pensais  sérieusement plus voir cela de mon vivant, sans dec. ! A noter que la fonction rétrocompatibilité des jeux Cube ainsi que ces fameux slots pour  carte mémoire et manette ont purement et simplement disparu des nouvelles versions de la Wii, disponibles depuis environ cet automne (2011). Ceci  dans une moindre communication de la part de Big N., un autre petit scandale pour un amateur de rétrogaming comme moi!

A noter que ce "restylage" la rend légèrement plus fine encore dans ses proportions, mais elle perd également le socle qui permettait d'utiliser la console à l'horizontal. Boarf quoi !

 

 Un des packs du restylage scandaleux et en catimini de la wii! Oui je sais la couleur et le bundle est attrayant: comme ils sont sournois chez Big N!

 Et pour rester dans le domaine du détail qui m'a agréablement surpris, il s'agit, à ma connaissance, de la seule console (avec la Sega Saturn il me semble) où un compartiment amovible pour la pile au lithium sauvegardant la date et les paramètres de la console a été prévu.

Ca n'a l'air de rien comme ça, mais comprenez par là que vous pourrez la changer si vous jouez encore avec la console dans plus de 5 ans, alors que partout ailleurs  cette pile est collée sur la carte mère, vous obligeant a tout reparamétrer  à chaque allumage une fois morte. C'est un détail nullissime penseront certains d'entre vous, mais j'y vois ici encore un signe du perfectionnisme du grand Nintendo !

      Plus innovant, ce sont les nouvelles fonctionnalités de la console, avec son mode de veille permanent, qui à l'aide de la connection wifi (ça aussi c'était  nouveau pour l'époque!) se permettra de télécharger comme une grande les mises à jour ou des news du constructeur, sous forme de message dans la "boîte aux lettres" du menu principal (un autre ajout dont le meilleur apport est de compiler des infos quotidiennes sur vos sessions de jeu, comme le nom du jeu pratiqué et la durée de la session. Intéressant  pour connaître son niveau d'addiction à tel ou tel soft!).

Les chaines du menu principal, qui regroupent les diverses fonctionnalités de la console, sont une organisation pratique mais vraiment peu ergonomiques à utiliser, surtout lorsqu'elles font appel à des informations sur internet : les chargements sont hyper longs. Nintendo se met aux fonctionnalités en lignes mais avec un wagon de retard, pour ne pas dire un train entier, et cette lourdeur de jeunesse se vérifie aussi dans le jeu en ligne, néanmoins désormais existant sur console de salon Nintendo, ce qui mérite d'être carrément fêté, si si ! Toujours aussi eu ergonomique, il est comparable à celui de la portable DS en matière de simplicité (aridité...) des options, et sa principale douleur se nomme toujours  CODES AMIS (mais ce sytème de protection du jeune public est approuvé par PEDOBEAR, donc c'est le Bien !)

Du bon et des « efforts  à confirmer sur toute l'année scolaire ! » pour cette console qui aura tenté de manger à tous les râteliers durant sa carrière ; carrière déjà derrière elle maintenant que la Haute Définition est devenu le bracelet VIP indispensable pour rentrer dans le salon riche en High Tech des foyers en "crise" de 2012 !

     Voilà, mon bilan de la Wii se termine ici, et je reconnais que cette console  avec laquelle nous nous regardons toujours en chiens de faïence pendant mes sessions de jeu aura su me travailler au corps avec patience depuis sa sortie,  pour que je vous produise finalement cet article moins explosif qu'il aurait pu l'être il y'a quelques longs mois encore... Mais promis, on ne m'amadouera plus comme ça une prochaine fois, foi de vieux joueur !

Article proposé par RUDIO