Jeudi 28 janvier, aéroport de Novosibirsk, Sibérie, 10h30 du mat,
heure locale. J'émerge péniblement d'un éreintant périple d'une
douzaine d'heures et pour ne rien arranger, dehors, il fait un froid de
pingouin. D'ailleurs, l'énorme thermomètre digital qui trône
majestueusement au-dessus du panneau d'affichage des arrivées me nargue
en faisant clignoter un -31°C en grosses lettres rouges.

Je tire la langue pour conjurer ce climat hostile mais je me ravise
dès que la porte s'ouvre sur l'extérieur. Aucune envie de perdre un
organe vital par surgélation impromptue.

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