Dire que l'on assiste à une confiscation du pouvoir politique semble excessif pour certains. Hors, entre les lois cadres (lois de l'Union Européenne qui prévalent sur les lois nationales), la puissance des lobbies (de tous les types) installés à Bruxelles et les groupes d'influence (Bilderberg, Trilatérale, Le Siècle, etc.), il est clair que le pouvoir politique a une marge de manœuvre plus mince qu'avant. Le pouvoir du politicien ne s'exerce plus comme il y a encore quelques décennies. Il doit se soumettre à certains impératifs.