Ça y est, le "monstre" est là, monstre par la puissance, mais clairement pas par la taille, ni le design, par contre par le poids peut être.

Voilà c'est le grand jour, la Xbox One X. Projet Sorpio Édition (je reprends mon souffle) est arrivé chez moi, enfin parce que ça fait 1 an qu'elle a été annoncée et il a fallu s'armer de patience avant de la voir arriver. Donc parlons de sa taille, moi qui avais fais l'impasse sur la One S, j'ai pris une tite claque derrière les oreilles, elle est vachement petite, à quelques centimètres près elle est a peine plus grande qu'une Freebox Révolution. Pour le design, elle est simple et à la fois élégante un design qui tranche avec la Xbox One, mais qui est finalement assez proche de la One S dans l'idée, alors quand on voit qu'elle est plus puissante qu'une PS4 Pro (vous "ajoutez" une PS4 dedans) et plus petite, on se dit que les ingénieurs de Microsoft on fait un sacré boulot n'en déplaise à certains.

Sinon, on peut dire qu'elle est plutôt silencieuse quand elle est sur le Dash, oui le Dash parce que je n'ai pas encore pu lancer un seul jeu, la faute aux mises à jour 4 K, vous me direz ouais, mais tu n'as pas d'écran 4K, ben oui mais pour bénéficier du super-sampling faut bien que j'y passe. Le super-sampling c'est la technique qu'utilise la One X pour passer un jeu en 4K natif ou pas, à une résolution 1080p ce qui vous apporte un 1080p de bien meilleure qualité qu'un 1080p sans antialiasing et surtout bien moins gourmand qu'un 1080p avec un antialiasing de brute, enfin je pense, mes compétences en technique s’arrêtant là.

Pour le reste, je vous renvoie vers mon super Unboxing qui m'a pris une après-midi, un matin et quelques heures à préparer, en espérant que vous aimerez autant que celui de ma PS4 Pro. Amour et robustesse, on n'a pas le même maillot, mais on a la même passion.