Vous allez me dire que le titre de cet article n'est pas très charitable. Au contraire, soyons fiers de notre accent, il est notre force, notre moyen de reconnaissance à travers le monde et une façon aussi, pour beaucoup d'entre vous, de comprendre absolument tout ce que dit Dinga Bakaba en langue de Shakespeare à propos du fort enthousiasmant Deathloop.

Il y a beaucoup de mystères à résoudre dans DEATHLOOP. Qu'est-ce qui a causé la boucle temporelle ? Qui sont les visionnaires ? Pourquoi tout le monde sur Blackreef semble-t-il souffrir d'amnésie ? Qui est Julianna et pourquoi chasse-t-elle Colt ? Pourquoi tout le monde sur l'île porte-t-il des masques ? Comment Colt peut-il briser la boucle et échapper à l'île ?

Le réalisateur explique les bases : vous jouez Colt, et vous vivez, comme le reste des habitants de l'île de Blackreef, une journée en boucle. Cela ne s'arrête pas. Seul moyen de vous échapper : tuer huit cibles, les Visionnaires, répartis dans plusieurs districts et sur plusieurs périodes différentes. Dans ce FPS teinté de Rogue-lite où l'on progresse comme on le souhaite, on apprend à chaque partie. Et cela devrait, à vue de nez, se transformer en un Hitman en monde ouvert qui aurait mangé du Dishonored en écoutant l'intégrale de Shirley Bassey et en buvant un Vodka Martini. Bref, ça s'annonce encore une fois super bieng. Mince, un autre accent me rattrape !

Deathloop est attendu pour le 21 mai prochain sur PS5 et PC.