C'est en présence du Ministre de l'Économie et du Commerce Hiroshige Sekō que Yoshiaki Koizumi est monté sur scène pour récupérer le premier trophée qui venait récompenser son travail de grand architecte de la Switch.

Le producteur a comme il se doit prononcé quelques mots, sans pour autant remercier ses parents ni sa maison de disque :

Notre philosophie réside dans la liberté de s'amuser, partout et n'importe quand. La Nintendo Switch est arrivée sur le marché comme une console qui s'adapte aux modes de vie actuels.

Elle est venue unifier les différents publics : ceux qui jouent en famille, et ceux qui l'utilisent personnellement comme une machine portable. La Switch répond à tous les besoins d'une façon encore jamais vue auparavant.

Après cet exercice de satisfecit, c'est Eiji Aonuma qui est venu récupérer le trophée récompensant le Jeu Japonais de l'Année, puisqu'il revenait à Breath of the Wild, tandis que Call of Duty WWII remportait la palme équivalente pour l'Occident. Deux salles, deux ambiances.

Le trophée du Jeu le plus vendu est revenu sans grande surprise à Dragon Quest XI, venant ainsi attester de la santé de fer de la saga de Yuji Horii sur l'archipel.

Le très médiatique producteur de Super Smash Bros. Ultimate Masahiro Sakurai a ensuite pris la parole pour remettre le prix du Game Design à l'excellent Gorogoa, que nous ne pouvons que vous recommander à nouveau.

Une dizaine de prix d'excellence ont ensuite été décernés à Splatoon 2, Xenoblade Chronicles 2, Pokémon Ultra Soleil/Lune, Fate/Grand Order, Call of Duty WW II, Fortnite, PlayerUnknown's Battlegrounds, Undertale et Monster Hunter World.

Vous pouvez retrouver quelques clichés de cette cérémonie dans notre galerie d'images.


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