L'information provient d'un membre du site IGN qui postait un visuel des tenues dans les versions japonaise et occidentale du jeu. On découvre ainsi que le bikini super sexy que peut revêtir Edéa à un certain stade du jeu porte plutôt bien son nom dans la mouture nippone, alors que l'on pouvait encore s'interroger sur cet aspect du costume occidental. 

Autre victime, la classeVampire. Le stratagème se résume une fois de plus à cacher le trop plein de peau qui restait visible dans la version nippone. On se rappelle ainsi la censure qu'avait subi le DLC de Fire Emblem : Awakening dans lequel, entre autres dialogues allégés, le postérieur de Tharja se retrouvait voilé.

Notez que ces modifications superficielles, bien que retouchant certains dialogues pour en gommer quelques insinuations osées, n'affectent en rien le scénario et le déroulement général du jeu. Ces dernières ont même le mérite de proposer le jeu à un public plus large. En effet alors que Bravely Default est classé "C" sur l'archipel, celui-ci s'adresse en nos contrées aux joueurs âgés de 12 ans et plus. 

Gageons donc que cette "censure" n'enlève rien de ce qui fait le sel de Bravely Default. Aussi profitons-en pour vous rappeler que le boss additionnel Butterfly Tail est toujours disponible gratuitement et ce jusqu'au 6 janvier. 

[Source : IGN]