C'est dans l'air du temps, et cela soulève un véritable débat de fond autant chez nous qu'au Japon : les différences de développement s'accentuent entre l'asie et l'occident, avec les Etats-unis prenant une position de plus en plus dominante.

Les réflexions sur Twitter de Koji Taguchi, un ponte de Square Enix, montre bien le malaise nippon :

Du fait de la fusion avec Eidos et des titres comme Tomb Raider, Deus Ex et Hitman, nous avons pu garder la face en tant que compagnie. Mais le manque de jeu japonais était presque humiliant. Cette semaine, il ne s'est pas passé un jour sans que je me demande comment améliorer cette situation.

L'erreur serait de remettre en cause le style et la direction artistique des jeux japonais, plutôt que des méthodes de production rigides et peu compétitive. Mais le souci existe clairement, et il va falloir y remédier.

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